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Critique de Athouni


Ces six nouvelles d'un auteur anglais, aimé par ses pairs mais méconnu du grand public, abordent les relations amoureuses avec autant de finesse que d'humour. En lisant « L'homme qui comprenait les femmes », je me suis revu, plus jeune et plus hésitant, amoureux, porté par des analyses alambiquées de la situation, faire l'exact contraire de ce qu'il aurait fallu, à savoir : l'embrasser. Aujourd'hui, alors que l'appréhension à remplacer la tétanie, je ne peux qu'éprouver de la tendresse pour ces bêtises d'antan si admirablement décrites par Leonard Merrick dans ses nouvelles.

Chacun aura sans doute l'occasion de se reconnaitre (et d'en rire) dans « Les violettes » (des fleurs adressées tous les ans à celle qu'on a aimé d'abord par amour, puis pour ne pas la blesser, puis par reflexe) ou bien encore dans « Frankenstein II » et la drolatique « les trois M » (sur la jalousie).
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