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Critique de LivresdAvril
Un enfant orphelin aux pouvoirs magiques élevé loin de son peuple d'origine, qui réintègre son monde et fait son entrée dans une école huppée.
Ça vous rappelle quelque chose ? Moi aussi.
Sauf qu'ici on est dans le monde des elfes et non dans celui des sorciers. Et que l'héroïne est une fille, aux yeux marrons quand tous ses compatriotes ont les yeux bleus. Moins facile à dissimuler qu'une cicatrice...
Honnêtement, je ne suis pas la lectrice cible. Mais si on avait immédiatement envie d'aller étudier à Poudlard, le monde elfique ne m'a pas fait rêver. On y trouve des tyrannosaures à plumes fluo, des plats végétariens ayant des goûts pour le moins écoeurants et des bâtiments plus kitch les uns que les autres.
Mais on ne peut pas comparer toutes les oeuvres fantastiques à l'oeuvre de J. K. Rowling, à moins de ne plus rien trouver à son goût. Et si Shannon Messenger a visiblement lu "Harry Potter", ses inspirations sont plus à chercher du côté de "Twilight". En effet, au niveau des thèmes, nous avons l'héroïne qui ne se sent pas à sa place et dont personne n'arrive à percer les pensées, la télépathie, les trucs brillants, la lumière partout, l'argent qui coule à flot et le beau ténébreux. Et au niveau du style, il y a moulte volte-face, mordillage de lèvres, rougissements et nausées dûes à la gène des personnages.
Ça m'a fait l'effet d'une fan fiction pour préados.
Et si ce n'est pas forcément gênant, il est en revanche ennuyeux que les pouvoirs de l'héroïne apparaissent à tout va, comme par hasard au moment où elle en a besoin. Un peu de tenue dans cette déferlante de magie trop à propos ne nuirait pas à la cohérence de l'ensemble !
Ça vous rappelle quelque chose ? Moi aussi.
Sauf qu'ici on est dans le monde des elfes et non dans celui des sorciers. Et que l'héroïne est une fille, aux yeux marrons quand tous ses compatriotes ont les yeux bleus. Moins facile à dissimuler qu'une cicatrice...
Honnêtement, je ne suis pas la lectrice cible. Mais si on avait immédiatement envie d'aller étudier à Poudlard, le monde elfique ne m'a pas fait rêver. On y trouve des tyrannosaures à plumes fluo, des plats végétariens ayant des goûts pour le moins écoeurants et des bâtiments plus kitch les uns que les autres.
Mais on ne peut pas comparer toutes les oeuvres fantastiques à l'oeuvre de J. K. Rowling, à moins de ne plus rien trouver à son goût. Et si Shannon Messenger a visiblement lu "Harry Potter", ses inspirations sont plus à chercher du côté de "Twilight". En effet, au niveau des thèmes, nous avons l'héroïne qui ne se sent pas à sa place et dont personne n'arrive à percer les pensées, la télépathie, les trucs brillants, la lumière partout, l'argent qui coule à flot et le beau ténébreux. Et au niveau du style, il y a moulte volte-face, mordillage de lèvres, rougissements et nausées dûes à la gène des personnages.
Ça m'a fait l'effet d'une fan fiction pour préados.
Et si ce n'est pas forcément gênant, il est en revanche ennuyeux que les pouvoirs de l'héroïne apparaissent à tout va, comme par hasard au moment où elle en a besoin. Un peu de tenue dans cette déferlante de magie trop à propos ne nuirait pas à la cohérence de l'ensemble !
