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Critique de jamiK
Catherine Meurisse retrace l'histoire de l'art au XXe siècle, avec ses mouvements, son évolution, ses changements, dans une comédie mouvementée dans les couloirs du Musée d'Orsay.
Le personnage d'Olympia est sorti du tableau de Manet, elle propose ses service comme modèle dans d'autres oeuvres, se rêvant dans le rôle de Juliette. On va faire un tour du côté des Pompiers, des Naturalistes puis des Impressionnistes, avec une pointe d'ironie sur les sujets ou les artistes. Plus d'une cinquantaine d'oeuvres sont passées au crible de la dérision, de l'humour et aussi de l'admiration.
Les oeuvres sont mises en scène comme un tournage de film ou de comédie musicale, le peintre dirige ses personnages comme un réalisateur de cinéma, “On tourne !”
Le dessin est mouvementé, brut, un brin iconoclaste, et il révèle une certaine effervescence, comme celle des mouvements qui se côtoient dans ce siècle en évolution permanente, c'est le rythme d'une visite rapide au Musée d'Orsay ou les oppositions artistiques se confrontent. Cette bande dessinée nous raconte un siècle où les lyrismes mythologiques ou historiques passeront de mode pour un réalisme et un regard plus proche du monde réel, elle nous raconte une visite de Musée, libre et sans préjugés, une vision personnelle et un peu fofolle, au fil des histoires qui se créent dans la tête du visiteur, laissant les dogmes et les aprioris au vestiaire, elle nous propose un mode d'emploi pour visiter un Musée, décontracté et réjouissant.
J'aime cet aspect iconoclaste de présenter l'Art chez Catherine Meurisse, qui est en fait bien plus respectueux que les apparences laissent paraître. Voilà une visite très enrichissante du Musée d'Orsay.
Le personnage d'Olympia est sorti du tableau de Manet, elle propose ses service comme modèle dans d'autres oeuvres, se rêvant dans le rôle de Juliette. On va faire un tour du côté des Pompiers, des Naturalistes puis des Impressionnistes, avec une pointe d'ironie sur les sujets ou les artistes. Plus d'une cinquantaine d'oeuvres sont passées au crible de la dérision, de l'humour et aussi de l'admiration.
Les oeuvres sont mises en scène comme un tournage de film ou de comédie musicale, le peintre dirige ses personnages comme un réalisateur de cinéma, “On tourne !”
Le dessin est mouvementé, brut, un brin iconoclaste, et il révèle une certaine effervescence, comme celle des mouvements qui se côtoient dans ce siècle en évolution permanente, c'est le rythme d'une visite rapide au Musée d'Orsay ou les oppositions artistiques se confrontent. Cette bande dessinée nous raconte un siècle où les lyrismes mythologiques ou historiques passeront de mode pour un réalisme et un regard plus proche du monde réel, elle nous raconte une visite de Musée, libre et sans préjugés, une vision personnelle et un peu fofolle, au fil des histoires qui se créent dans la tête du visiteur, laissant les dogmes et les aprioris au vestiaire, elle nous propose un mode d'emploi pour visiter un Musée, décontracté et réjouissant.
J'aime cet aspect iconoclaste de présenter l'Art chez Catherine Meurisse, qui est en fait bien plus respectueux que les apparences laissent paraître. Voilà une visite très enrichissante du Musée d'Orsay.
