Après le succès du "Golem"
Gustav Meyrink écrivit, en 1916, un second roman "
Le Visage vert". L'auteur y exploite de nouveau et avec virtuosité son goût pour le fantastique et l'occultisme. Tout débute dans une boutique de farces et attrapes... A Amsterdam, où la fin de la guerre a attiré de nombreux étrangers. L'ingénieur Hauberisser y rencontre un vieux juif étrange , au visage d'airain. Son ami le baron Pfeill évoque ensuite le portrait du Juif errant qu'il avait vu autrefois dans une galerie. Les situations s'enchaînent avec des coïncidences de plus en plus intrigantes : un prestidigitateur, un sorcier noir, un groupe d'extatiques chrétiens se réunissant au dessus d'une taverne dans un quartier malfamé, un docteur juif, la ravissante Eva et
le visage vert...
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