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Critique de Floccus


À ses débuts, Valérian était un petit bonhomme vif et décidé, bourré de ressources, occupant ses loisirs à concevoir des sculptures mathématiques à quatorze décimales. Rien à voir avec le grand dadais qu'il va devenir dans les albums suivants. Il faut croire que l'affection de Laureline va le ramollir peu à peu... dans le tome 2 déjà, elle le bat aux échecs et le sauve d'une situation périlleuse... Il se laisse faire.

Heureusement que les auteurs n'avaient pas un sens prédictif développé car nous serions pas arrivés jusqu'en 2012 pour voir rater un Apocalypse déjà annoncé en 1986.

Mézières arrive à rendre compte des "parfums, des sons et de couleurs inconnus sur la Terre" par son dessin inventif. de la science fiction rafraîchissante.

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