Minier s'applique à reprendre ses personnages où il les avait laissés, tout en les confrontant à un drame terrible. de retour dans les couloirs de son ancienne fac, Servaz doit assumer son passé, alors que sa propre fille Margot y étudie à son tour. le jeu de miroir est habile, et l'atmosphère générale est plus variée que dans glacé. Néanmoins, on regrette une intrigue riche mais parfois un peu laborieuse. Minier aurait pu se contenter d'une centaine de pages en moins.
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