Ken est toujours au sevice de Nobunaga dont l'ambition grandit au niveau militaire et politique. On ne peut s'empêcher d'admirer cet homme pour sa clarté et sa vision presque futuriste. Nobunaga se sert de Ken comme atout, appât, arme; ce qui n'empêche les deux hommes de s'apprécier.
Le côté humain s'étoffe: il y a de l'amour, de la jalousie, de l'envie, du courage, de la lâcheté et ce à tous les niveaux de la société. Et on continue la découverte de la cuisine japonaise. Tout ne fait pas envie, mais je goûterais bien plusieurs plats.
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