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Critique de kuroineko
Deuxième volume fini et Dragon Head continue d'être aussi captivant que flippant.
Même sortis des ténèbres du tunnel, il apparaît qu'au dehors, tout n'est que dévastation. Un tremblement de terre géant, le fameux Big One redouté des Japonais? Une attaque nucléaire? Autre chose encore inconnu? Toujours est-il que l'atmosphère est empli de particules noires et asphixiantes. La ville où le train a déraillé semble déserte. Toute population est-elle morte?
Mochizuki Minetarô déplace son cauchemar. Après le huis-clos, des paysages d'apocalypse. Et dans son sillage, le désespoir pour nos survivants. Il n'y a pas de secours à trouver, pas d'aide à recevoir. le manga suit le chemin de la fin d'une civilisation.
Il arrive nombre de périlleuses péripéties aux personnages dans ce volume, à nouveau. Chacune renvoie à ce que l'être humain peut faire ou devenir, placé dans une pareille situation. Si le concept n'est pas original en soi puisque présent dans toutes les intrigues post-apocalyptiques, sa mise en image par le mangaka est très impressionnante et anxiogène. La tension est palpable et l'on se surprend à chercher sa respiration.
On ne ressort pas indemne de Dragon Head. Les deux premiers tomes sont du genre qui s'accrochent à la mémoire. Il ne me reste plus qu'à attendre que ma médiathèque achète les trois derniers volumes. Aaaahhh l'horreur jusqu'au bout!
Même sortis des ténèbres du tunnel, il apparaît qu'au dehors, tout n'est que dévastation. Un tremblement de terre géant, le fameux Big One redouté des Japonais? Une attaque nucléaire? Autre chose encore inconnu? Toujours est-il que l'atmosphère est empli de particules noires et asphixiantes. La ville où le train a déraillé semble déserte. Toute population est-elle morte?
Mochizuki Minetarô déplace son cauchemar. Après le huis-clos, des paysages d'apocalypse. Et dans son sillage, le désespoir pour nos survivants. Il n'y a pas de secours à trouver, pas d'aide à recevoir. le manga suit le chemin de la fin d'une civilisation.
Il arrive nombre de périlleuses péripéties aux personnages dans ce volume, à nouveau. Chacune renvoie à ce que l'être humain peut faire ou devenir, placé dans une pareille situation. Si le concept n'est pas original en soi puisque présent dans toutes les intrigues post-apocalyptiques, sa mise en image par le mangaka est très impressionnante et anxiogène. La tension est palpable et l'on se surprend à chercher sa respiration.
On ne ressort pas indemne de Dragon Head. Les deux premiers tomes sont du genre qui s'accrochent à la mémoire. Il ne me reste plus qu'à attendre que ma médiathèque achète les trois derniers volumes. Aaaahhh l'horreur jusqu'au bout!
