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Critique de ShayHlyn_Farfouine
Si vous n'aviez pas déjà remarqué que les webtoons faisaient fureur en ce moment, celui-ci n'a pourtant pas pu vous échapper. J'ai l'impression de le voir et d'en entendre parler partout et pour cause, c'est une des grandes affiches Netflix. Pourtant, le concept est assez simple : une jolie fille un peu garçon manqué sur les bords, des beaux gosses en voulez-vous, en voilà et advienne que pourra. D'instinct, ça m'a un peu fait penser à la série japonaise “Atashinshi no danshi” où une sans abri débrouillarde doit jouer les mères de substitutions pour des héritiers d'un riche homme récemment décédé. Des jeunes hommes d'environs son âge, évidemment... Où encore “Cindirella and the four knights” du côté coréen, mettant encore en scène une jeune femme entourée, comme vous l'aurez compris, de quatre beaux mâââââles.
Là où le hasard joue son rôle dans les séries précités, dans “Romantic Killer” joue la carte de la magie avec une petite créature qui met tout en oeuvre pour accomplir une mission d'intérêt visiblement national : la natalité japonaise est en recrudescence donc sus à ces jeunes qui préfèrent les consoles de jeux au sexe opposé ! Anzu en est l'archétype même, toujours cloisonnée chez elle à jouer à des jeux vidéo, sans vraiment se soucier de son physique et des garçons, leurs préférant les chocolats et son chat Momohiki.
Une véritable torture pour la jeune fille qui n'est finalement pas de marbre, surtout quand son bourreau, doté de pouvoirs magiques, réorganise les cartes du jeu pour la coincer dans des situations propices au romantisme... C'est d'ailleurs le point fort de ce premier tome car on voit tellement les clichés venir qu'on s'en réjouit d'avance, pour en rire quand la pauvre rouquine tente de ne pas succomber.
Un premier tome prometteur pour Wataru Momose qui surfe sur la vague de la gloire avec déjà trois tomes sortis aux éditions Soleil Manga et 12 épisodes animés sur la plate-forme de streaming. Son style graphique est sommes toutes assez classiques pour un shôjô (shônen ?!), exception faite des grimaces de l'adolescente quand elle est dans le pétrin (sorte de meme affreux...) et donc digne d'intérêt pour une chouette comédie. Affaire à suivre...
Lien : https://sambabd.net/2023/12/..
Là où le hasard joue son rôle dans les séries précités, dans “Romantic Killer” joue la carte de la magie avec une petite créature qui met tout en oeuvre pour accomplir une mission d'intérêt visiblement national : la natalité japonaise est en recrudescence donc sus à ces jeunes qui préfèrent les consoles de jeux au sexe opposé ! Anzu en est l'archétype même, toujours cloisonnée chez elle à jouer à des jeux vidéo, sans vraiment se soucier de son physique et des garçons, leurs préférant les chocolats et son chat Momohiki.
Une véritable torture pour la jeune fille qui n'est finalement pas de marbre, surtout quand son bourreau, doté de pouvoirs magiques, réorganise les cartes du jeu pour la coincer dans des situations propices au romantisme... C'est d'ailleurs le point fort de ce premier tome car on voit tellement les clichés venir qu'on s'en réjouit d'avance, pour en rire quand la pauvre rouquine tente de ne pas succomber.
Un premier tome prometteur pour Wataru Momose qui surfe sur la vague de la gloire avec déjà trois tomes sortis aux éditions Soleil Manga et 12 épisodes animés sur la plate-forme de streaming. Son style graphique est sommes toutes assez classiques pour un shôjô (shônen ?!), exception faite des grimaces de l'adolescente quand elle est dans le pétrin (sorte de meme affreux...) et donc digne d'intérêt pour une chouette comédie. Affaire à suivre...
Lien : https://sambabd.net/2023/12/..
