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Critique de Lesvoyagesdely
Ce manga est génial, drôle, dans l'air du temps, prenant, intéressant. On ne s'en rend pas forcément compte au départ même si nous passons un bon moment, mais tout va se lier, et il y a beaucoup plus de profondeur qu'on ne le croit. Ce projet un peu fou au départ a quand même crée des liens, des rencontres inestimables qui leur font à tous du bien et qui comptent. La série a aussi abordée des thèmes forts en toile de fond, elle le fait encore dans ce dernier tome au sujet de Tsukasa. Elle a aussi su restée fidèle à elle-même du début à la fin. Anzu assumant très bien son rôle d'anti-héroïne.
C'est un peu comme la fin d'un arc, nous ne sommes pas trop laissés en plan, tout en ayant une possibilité de continuer.
La série nous fait rire, mais pas seulement, et c'est en cela qu'elle est passée au niveau au-dessus.
Elle nous régale et le tout en couleurs, nous surprenant en permanence, et nous nous sommes aussi liés aux différents personnages que nous avons croisés.
Dans ce tome, ils profitent d'un festival d'été au début. Et ce sont même mis en yukata. Ils sont adorables et solidaires. Après avoir été surpris au sujet de Junta, c'est autour de Tsukasa, nous allons donc
mieux comprendre certaines de ces réactions, et sa façon de rejeter les autres. Il a vécu quelque chose qui l'a traumatisé, où il n'a été nullement assez protégé, et écouté seulement de certains. C'est vraiment une situation affolante, qui va élever le niveau de danger. Par ailleurs, cela permet également de mettre en avant la dérive des réseaux sociaux.
Anzu doit bien s'avouer que même si ce projet lui déplaît, que Riri est un sacré numéro (qui est le lien avec le côté fantastique), elle a pu faire de très belles rencontres, et nouer des liens précieux.
La fin ne coupe pas tout, elle répond aux questions majeures, ne laisse rien en suspens, sauf sans doute le futur d'Anzu, et qu'elle a encore plein de choses à vivre. Mais cela, ce sera peut être une autre
histoire.
En tout cas, la série vaut le coup, et bien plus qu'on peut l'imaginer de prime abord. Je vous encourage à lui laisser sa chance. Il prend aussi à contrepied, d'une autre manière les choses.
C'est un peu comme la fin d'un arc, nous ne sommes pas trop laissés en plan, tout en ayant une possibilité de continuer.
La série nous fait rire, mais pas seulement, et c'est en cela qu'elle est passée au niveau au-dessus.
Elle nous régale et le tout en couleurs, nous surprenant en permanence, et nous nous sommes aussi liés aux différents personnages que nous avons croisés.
Dans ce tome, ils profitent d'un festival d'été au début. Et ce sont même mis en yukata. Ils sont adorables et solidaires. Après avoir été surpris au sujet de Junta, c'est autour de Tsukasa, nous allons donc
mieux comprendre certaines de ces réactions, et sa façon de rejeter les autres. Il a vécu quelque chose qui l'a traumatisé, où il n'a été nullement assez protégé, et écouté seulement de certains. C'est vraiment une situation affolante, qui va élever le niveau de danger. Par ailleurs, cela permet également de mettre en avant la dérive des réseaux sociaux.
Anzu doit bien s'avouer que même si ce projet lui déplaît, que Riri est un sacré numéro (qui est le lien avec le côté fantastique), elle a pu faire de très belles rencontres, et nouer des liens précieux.
La fin ne coupe pas tout, elle répond aux questions majeures, ne laisse rien en suspens, sauf sans doute le futur d'Anzu, et qu'elle a encore plein de choses à vivre. Mais cela, ce sera peut être une autre
histoire.
En tout cas, la série vaut le coup, et bien plus qu'on peut l'imaginer de prime abord. Je vous encourage à lui laisser sa chance. Il prend aussi à contrepied, d'une autre manière les choses.
