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Critique de Hedwigedlc
Dans un quartier huppé, Agathe, 17 ans, vit avec sa grand-mère qui a tout abandonné pour s'occuper d'elle ainsi que de sa soeur aînée. Agathe est la principale narratrice de ce roman,
Dans le même quartier vivent David, Marianne et leurs trois enfants qu'Agathe garde souvent.
Agathe et Joanna forment une paire d'amies inséparables. Ce sont deux petites pestes égoïstes et menteuses. Jusqu'au jour où circule une vidéo compromettante de Joanna , jusqu'au jour où cette dernière meurt suite à une overdose de médicaments.
Dès lors Agathe n'aura de cesse de découvrir qui a diffusé cette vidéo et qui est responsable de la mort de Joanna.
Ce roman est construit de façon magistrale avec ses beaux enchaînements sans heurts d'une scène, d'une temporalité ou d'un personnage à l'autre. Avec également un déroulement en spirale menant au dévoilement final.
Les personnages sont relativement antipathiques et superficiels, et ceux qui ont du coeur sont utilisés sans vergogne ou rejetés.
L'auteure montre que l'aisance sociale permet de dissimuler mieux encore les pires perversions, celles qui insatiablement humilient, bafouent et abusent des femmes.
Le style est fluide mais il mérite une révision. Quant à la fin, elle m'a paru fort peu crédible.
Lien : https://www.facebook.com/Hed..
Dans le même quartier vivent David, Marianne et leurs trois enfants qu'Agathe garde souvent.
Agathe et Joanna forment une paire d'amies inséparables. Ce sont deux petites pestes égoïstes et menteuses. Jusqu'au jour où circule une vidéo compromettante de Joanna , jusqu'au jour où cette dernière meurt suite à une overdose de médicaments.
Dès lors Agathe n'aura de cesse de découvrir qui a diffusé cette vidéo et qui est responsable de la mort de Joanna.
Ce roman est construit de façon magistrale avec ses beaux enchaînements sans heurts d'une scène, d'une temporalité ou d'un personnage à l'autre. Avec également un déroulement en spirale menant au dévoilement final.
Les personnages sont relativement antipathiques et superficiels, et ceux qui ont du coeur sont utilisés sans vergogne ou rejetés.
L'auteure montre que l'aisance sociale permet de dissimuler mieux encore les pires perversions, celles qui insatiablement humilient, bafouent et abusent des femmes.
Le style est fluide mais il mérite une révision. Quant à la fin, elle m'a paru fort peu crédible.
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