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Critique de Gwenotheque
D'anciens amis, co-équipiers de hand, se retrouvent des années plus tard, invités par l'un d'entre eux. Chacun a tracé sa route, l'un est mécanicien, l'autre chef d'entreprise, l'autre encore vient d'être licencié de l'imprimerie dans laquelle il travaillait en tant qu'ouvrier..., mais tous partagent une certaine vision humaniste. Et c'est, sans trop de débats, qu'ils décident de kidnapper et séquestrer Pierre Hamut, célèbre éditorialiste dans la revue "valeurs françaises" et qui prône une vision du travail libérale exacerbée (retour aux 45h, diminution du salaire de 20% pour rester compétitif...). Ils ne recherchent pas de rançon: ils espèrent le rallier à une vision plus humaniste en le mettant au travail, en 3 huits sur une perceuse.
L'idée était intéressante, et l'idée touchante de voir que ces amis, malgré les années qui ont passé et les parcours qui ont divergé, ont gardé une même vision humaniste. Néanmoins, le roman est un peu poussif et m'a semblé tourner en rond.
L'idée était intéressante, et l'idée touchante de voir que ces amis, malgré les années qui ont passé et les parcours qui ont divergé, ont gardé une même vision humaniste. Néanmoins, le roman est un peu poussif et m'a semblé tourner en rond.
