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Critique de Valerielle


On ne parlera même plus de société de consommation mais de surconsommation dans cet ouvrage. Incités à céder aux sirènes publicitaires, nous allons droit dans le mur. Nous épuisons la Terre de ses ressources, nous spolions les animaux de leurs territoires et ils sont contraints de se rapprocher de plus en plus des villes. Pourtant, nos dirigeants ne sont pas du tout enclins à changer nos modes de vie et font les autruches.
Alors, quelle solution ? Et si on restreignait intelligemment nos trains de vie sans pour autant retourner dans des cavernes ? L'auteure donne des pistes de sobriété heureuse.
Ce petit ouvrage fait oeuvre de pédagogie à tout âge : le paradoxe d'Easterlin qui fait le lien entre niveau de richesse et bien-être, le monde hyperconnecté qui va disparaître dans moins de 30 ans, faute de matériaux. "On devrait tous réclamer à cor et à cri un grand plan international d'économies de matière et d'énergie."
Ce livre est essentiel : il se lit sans difficulté, cite ses sources et alerte sur notre société.
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