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Critique de Meygisan
Ce tome 2 nous plonge directement au coeur de l'action, sans nous laisser le temps de respirer et ce, jusqu' à sa conclusion.
Hercule est en mode recherche et élimination et ça ne rigole pas.
Pour son second travail, il doit dénicher des bagnards pas comme les autres, qui se révoltent au sein de leur prison. La caractérisation et le détournement de l'Hydre de Lerne dans ce monde sf est très intéressant, mais je vous laisse le plaisir d'en découvrir tous les aspects. Ça vaut le détour.
Et j'apprécie de plus en plus le personnage d'Hercule, irrévérencieux à souhait face aux Axiomatikos, incarnations du pouvoir suprême, dont on devine qu'il joue pour le moment le jeu. Prisonnier de lui même et de ses fautes, Hercule nourrit quand même l'espoir d'être libéré du joug d'Héra et des 12 travaux qui lui ont été assignés.
Sinon, côté graphisme, c'est toujours aussi impressionnant, la palette choisie par Looky et olivier Thill crée une atmosphère toujours aussi pesante, oppressante et claustro phobique à souhait. Ça sent la ferraille, la rouille, la sueur, le sang.
Une bd fort bien réussie mais qui ne perdrait rien à quelques pages supplémentaires, pour apporter un peu plus de finesse et de profondeur à un scénario qui semble étouffer dans les 48 pages qui lui sont allouées.
Hercule est en mode recherche et élimination et ça ne rigole pas.
Pour son second travail, il doit dénicher des bagnards pas comme les autres, qui se révoltent au sein de leur prison. La caractérisation et le détournement de l'Hydre de Lerne dans ce monde sf est très intéressant, mais je vous laisse le plaisir d'en découvrir tous les aspects. Ça vaut le détour.
Et j'apprécie de plus en plus le personnage d'Hercule, irrévérencieux à souhait face aux Axiomatikos, incarnations du pouvoir suprême, dont on devine qu'il joue pour le moment le jeu. Prisonnier de lui même et de ses fautes, Hercule nourrit quand même l'espoir d'être libéré du joug d'Héra et des 12 travaux qui lui ont été assignés.
Sinon, côté graphisme, c'est toujours aussi impressionnant, la palette choisie par Looky et olivier Thill crée une atmosphère toujours aussi pesante, oppressante et claustro phobique à souhait. Ça sent la ferraille, la rouille, la sueur, le sang.
Une bd fort bien réussie mais qui ne perdrait rien à quelques pages supplémentaires, pour apporter un peu plus de finesse et de profondeur à un scénario qui semble étouffer dans les 48 pages qui lui sont allouées.
