Ce Sepenters se situe quelque part entre
Lovecraft et
Le Clézio (pour son Rêve Mexicain). Malgré des traits sombres, horrifiques, et une histoire dans laquelle la légèreté est tout autant absente, on se glisse dans ces pages avec beaucoup de facilité. Trop peut être, comme avec
Lovecraft, l'horreur qui se dégage de l'ensemble devient vite familière. A lire à petites doses, mais tout de même, à lire.
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