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Critique de Ashallayne
Déçue par ce dernier tome...
L'histoire reprend là où on l'avait laissée : Louisa s'envole vers New York pour son nouveau job auprès d'une famille richissime. Elle y retrouve Nathan, son ancien collègue chez les Traynor. Sa présence est toutefois d'un maigre réconfort car elle aura rarement l'occasion de le voir, tout absorbés qu'ils sont par leur travail auprès des patrons. Elle devient l'assistante d'Agnes, une jeune polonaise immigrée mariée au riche Leonard Gopnik. Elle est capricieuse, belle à en crever, vulgaire, égoïste et manipulatrice. Absolument détestable, bien qu'on veuille nous la présenter comme une pauvre petite chose sans défense et sans amis (ça par contre c'est vrai), rejetée dans ce milieu huppé des riches new yorkais car jugée arriviste. Qu'est-ce que doit faire Louisa dans tout ça ? S'effacer pour devenir l'ombre d'Agnes, assouvir ses moindres désirs, même les plus absurdes.
Sa fraîche relation avec Sam, resté à Londres, prend un sacré coup. Il faut dire que ce crétin ne fait rien pour faire vivre leur couple et surmonter les difficultés de la relation à distance.
Louisa est complètement paumée, elle en vient à s'oublier elle-même et son bonheur. Jusqu'à ce que...
L'histoire m'a ennuyée. "On reprend les mêmes et on recommence", ou presque.
Hop direction chez les riches qui mènent une vie absolument surréaliste, à des années-lumière du commun des mortels. Les jérémiades d'Agnes m'ont profondément énervée, d'autant plus que Louisa ne voyait pas qu'elle se faisait manipuler.
La thématique de la relation à distance dans les romans ne me fait pas vibrer (pas assez de chamallows fondus à mon goût). J'ai été mal à l'aise parce que l'histoire m'a donné l'impression que l'issue de cette relation était eh bien... normale, inéluctable, alors que c'est vraisemblablement faux. Quoique la fin (que j'ai trouvée surréaliste ) laisse entendre qu'éventuellement leur relation aurait pu prendre une autre direction si une certaine personne avait fait plus d'efforts.
Du côté des personnages, je ne comprends pas pourquoi l'autrice a tenu à créer un sosie de Will. Inutile et peu crédible. Qu'est-ce qu'il était fade en plus...
Heureusement il n'y a pas que du négatif dans ce roman : j'ai été contente de voir l'évolution des membres de la famille de Louisa, notamment en ce qui concerne Treena.
J'ai aussi beaucoup apprécié les interventions de Lily
En définitive je suis quand même contente d'être arrivée au bout de la trilogie et d'avoir suivi l'évolution de Louisa (et quelle évolution !), mais je suis déçue de laisser les personnages sur cette note... Tant pis. Au moins vous serez prévenus.
L'histoire reprend là où on l'avait laissée : Louisa s'envole vers New York pour son nouveau job auprès d'une famille richissime. Elle y retrouve Nathan, son ancien collègue chez les Traynor. Sa présence est toutefois d'un maigre réconfort car elle aura rarement l'occasion de le voir, tout absorbés qu'ils sont par leur travail auprès des patrons. Elle devient l'assistante d'Agnes, une jeune polonaise immigrée mariée au riche Leonard Gopnik. Elle est capricieuse, belle à en crever, vulgaire, égoïste et manipulatrice. Absolument détestable, bien qu'on veuille nous la présenter comme une pauvre petite chose sans défense et sans amis (ça par contre c'est vrai), rejetée dans ce milieu huppé des riches new yorkais car jugée arriviste. Qu'est-ce que doit faire Louisa dans tout ça ? S'effacer pour devenir l'ombre d'Agnes, assouvir ses moindres désirs, même les plus absurdes.
Sa fraîche relation avec Sam, resté à Londres, prend un sacré coup. Il faut dire que ce crétin ne fait rien pour faire vivre leur couple et surmonter les difficultés de la relation à distance.
Louisa est complètement paumée, elle en vient à s'oublier elle-même et son bonheur. Jusqu'à ce que...
L'histoire m'a ennuyée. "On reprend les mêmes et on recommence", ou presque.
Hop direction chez les riches qui mènent une vie absolument surréaliste, à des années-lumière du commun des mortels. Les jérémiades d'Agnes m'ont profondément énervée, d'autant plus que Louisa ne voyait pas qu'elle se faisait manipuler.
La thématique de la relation à distance dans les romans ne me fait pas vibrer (pas assez de chamallows fondus à mon goût). J'ai été mal à l'aise parce que l'histoire m'a donné l'impression que l'issue de cette relation était eh bien... normale, inéluctable, alors que c'est vraisemblablement faux. Quoique la fin (que j'ai trouvée surréaliste ) laisse entendre qu'éventuellement leur relation aurait pu prendre une autre direction si une certaine personne avait fait plus d'efforts.
Du côté des personnages, je ne comprends pas pourquoi l'autrice a tenu à créer un sosie de Will. Inutile et peu crédible. Qu'est-ce qu'il était fade en plus...
Heureusement il n'y a pas que du négatif dans ce roman : j'ai été contente de voir l'évolution des membres de la famille de Louisa, notamment en ce qui concerne Treena.
J'ai aussi beaucoup apprécié les interventions de Lily
En définitive je suis quand même contente d'être arrivée au bout de la trilogie et d'avoir suivi l'évolution de Louisa (et quelle évolution !), mais je suis déçue de laisser les personnages sur cette note... Tant pis. Au moins vous serez prévenus.
