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Critique de VeroClaire
La cuisinière de Castamar est pour moi d'abord une série visionnée, il y a quelques semaines, sur Netflix. Elle a plu à mon âme romantique et à mon esprit gourmand. A tel point que j'ai eu envie de découvrir le roman à l'origine…
La série est assez fidèle, dans les grandes lignes, au roman, mais a pris, tout de mêmes, de sacrées largesses avec l'intrigue. Vous le découvrirez si vous ne vous laissez pas décourager par les quelques 670 pages de ce « pavé ».
L'histoire se déroule en Espagne, au début du XVIIIème siècle.
Clara Belmonte est une jeune femme de bonne famille élevée dans la bonne société, mais qui a tout perdu à la suite du décès de son père, médecin, pendant la guerre. La perte de son père lui a provoqué un tel choc qu'elle a développé une phobie des espaces extérieurs, ce qui l'handicape fortement au quotidien.
Clara va se voir proposer une place de commis de cuisine chez le Duc Diego de Castamar, un des grands d'Espagne très proche du roi Philippe. Ce poste est bien en dessous de ses compétences puisqu'elle a appris très jeune la cuisine avec sa mère qui travaillait alors pour les plus grands.
Diego lui est en retrait de la vie des nobles espagnols depuis la mort accidentelle de sa femme Dona Alba 9 ans plus tôt dont il ne parvient pas à se remettre.
Le roman présente le parcours de Clara, sous fond d'intrigues romantiques et politiques, la trame de fond de ce roman étant l'histoire d'une vengeance sourde, froide, cruelle et violente.
Les gentils sont très gentils, et les méchants sont très très méchants. Apprêtez-vous à prendre un sacré plaisir à les haïr.
Nous ne sommes pas dans de la grande littérature (il y a d'ailleurs de gros problèmes de traduction donc d'édition…) mais devant un roman qui nous propose un moment sympathique à passer, au son des casseroles et à l'évocation de mets plus extraordinaires les uns que les autres, tinté de romantisme et d'un charme bien désuet mais, avouons-le, qui fait un bien fou (en tout cas à moi).
Une littérature finalement sympathique à découvrir entre deux romans forts.
La série est assez fidèle, dans les grandes lignes, au roman, mais a pris, tout de mêmes, de sacrées largesses avec l'intrigue. Vous le découvrirez si vous ne vous laissez pas décourager par les quelques 670 pages de ce « pavé ».
L'histoire se déroule en Espagne, au début du XVIIIème siècle.
Clara Belmonte est une jeune femme de bonne famille élevée dans la bonne société, mais qui a tout perdu à la suite du décès de son père, médecin, pendant la guerre. La perte de son père lui a provoqué un tel choc qu'elle a développé une phobie des espaces extérieurs, ce qui l'handicape fortement au quotidien.
Clara va se voir proposer une place de commis de cuisine chez le Duc Diego de Castamar, un des grands d'Espagne très proche du roi Philippe. Ce poste est bien en dessous de ses compétences puisqu'elle a appris très jeune la cuisine avec sa mère qui travaillait alors pour les plus grands.
Diego lui est en retrait de la vie des nobles espagnols depuis la mort accidentelle de sa femme Dona Alba 9 ans plus tôt dont il ne parvient pas à se remettre.
Le roman présente le parcours de Clara, sous fond d'intrigues romantiques et politiques, la trame de fond de ce roman étant l'histoire d'une vengeance sourde, froide, cruelle et violente.
Les gentils sont très gentils, et les méchants sont très très méchants. Apprêtez-vous à prendre un sacré plaisir à les haïr.
Nous ne sommes pas dans de la grande littérature (il y a d'ailleurs de gros problèmes de traduction donc d'édition…) mais devant un roman qui nous propose un moment sympathique à passer, au son des casseroles et à l'évocation de mets plus extraordinaires les uns que les autres, tinté de romantisme et d'un charme bien désuet mais, avouons-le, qui fait un bien fou (en tout cas à moi).
Une littérature finalement sympathique à découvrir entre deux romans forts.
