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Critique de Apikrus


Le policier Artie Cohen et son neveu Billy assistent par hasard à la chute d'un avion. Attentat ou simple accident ? A priori cette dernière hypothèse est la plus probable mais je n'en ai guère appris plus en deux cent pages. Cet évènement est surtout l'occasion de présenter deux des principaux personnages du roman. Nous les découvrons ensuite de manière plus approfondie, par l'évocation de quelques événements marquants de leurs vies passées et à travers des faits et gestes de leur vie courante : dégustation d'une cigarette, d'une glace, petit déjeuner, visionnage d'une match de sport. L'histoire des différentes communautés de la ville de New-York, notamment celle d'origine russe, et de leurs rapports aux autres est aussi présentée de manière assez détaillée. Un récit très réaliste, et instructif, mais trop monotone pour un roman policier. Je l'ai trouvé d'autant moins captivant qu'il s'égare trop souvent dans des considérations sans rapport direct avec l'intrigue en elle-même. Soudain, page 196 à la fin de la seconde journée de l'histoire, une petite fille se met à hurler dans un magasin ! Même si la quatrième de couverture annonçait un événement tragique et laissait présager d'une tension psychologique forte, je n'ai pas eu la patience de poursuivre la lecture de ce roman que ses deux cents premières pages ne me permettent pas de qualifier de roman policier…

J'en resterai là avec cet auteur, bien que la culture russe qui sert de support à plusieurs de ses ouvrages soit un sujet qui a priori m'intéresse.
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