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Critique de florencem
Un petit moins enthousiaste par ce tome dix de Parfait Tic, en grande partie parce que je trouve que l'on tourne trop autour du pot concernant le problème Iori. Je trouvais l'idée très "sympathique" car c'est une situation assez peu commune dans les shojos, mais deux tomes entiers consacrés à cela, et sans pour autant avoir une vraie conclusion, c'est un peu trop.
Ichi n'a vraiment pas le bon rôle depuis le tome neuf, et cela ne s'arrange pas du tout ici. Et j'ai du mal à comprendre certaines choses. Déjà, comment il ne s'est pas dit que son attitude blesserait Fûko, alors qu'il sait quels sont ses sentiments pour lui (elle lui a laissé suffisamment d'indices et le garçon est loin d'être bête) ? Comment il ne s'est pas rendu compte que Fûko était de plus en plus misérable face à son attitude ? Pourquoi continuer à répondre à Iori, à continuer à la voir alors que l'on voit que c'est quelqu'un de toxique ? Oui, c'est quelqu'un qui semble assez fragile sur le point psychologique et qui est le genre à devoir constamment compter sur les autres... mais ce n'est pas le problème d'un enfant de quinze ans... Après je peux comprendre qu'il ressente le besoin de l'aider car il n'est pas insensible mais zut...
Après, j'ai adoré tout ce qu'il y avait autour. Franchement, du côté amitié, le tome est absolument génial. Les meilleures amies de Fûko sont ultra présentes, elles font attention à elle, la soutiennent, lui laissent de l'espace quand elle en a besoin... On assiste à des scènes vraiment très mignonnes, et malgré les nombreuses fois où notre héroïne est en pleurs, on voit aussi combien elle est entourée. Daiya est aussi un amour. Il est là quelles que soient les situations alors que pourtant on voit aussi que cela le fait souffrir. Mais il prend sur lui, et il n'hésite pas à dire à sa voisine préférée qu'elle n'est pas toujours obligée de faire semblant, et qu'elle peut se montrer triste. Se forcer à sourire n'est pas la solution.
Alors oui, du point de vue émotionnel, c'est un tome très difficile. Mais on sent l'amour des amis de nos héros, et c'est aussi très réconfortant. Un amour qui pousse notre héroïne à gagner du poil de la bête aussi, ce qui est un gros plus. Fûko finit par se battre pour elle-même. Elle apprend, parfois à la dure, mais elle évolue constamment.
Je n'ai jamais été fan du couple Fûko / Ichi, même si leur relation a des côtés très mignons, mais là, c'était le tome qui le confirmait bien. Je ne me rappelle plus trop la suite, mais j'ai encore espoir pour un Daiya / Fûko... le garçon étant pour moi un choix beaucoup plus judicieux à de nombreux niveaux. J'attends donc de voir en espérant que la suite ne me fasse pas trop grincer des dents.
Ichi n'a vraiment pas le bon rôle depuis le tome neuf, et cela ne s'arrange pas du tout ici. Et j'ai du mal à comprendre certaines choses. Déjà, comment il ne s'est pas dit que son attitude blesserait Fûko, alors qu'il sait quels sont ses sentiments pour lui (elle lui a laissé suffisamment d'indices et le garçon est loin d'être bête) ? Comment il ne s'est pas rendu compte que Fûko était de plus en plus misérable face à son attitude ? Pourquoi continuer à répondre à Iori, à continuer à la voir alors que l'on voit que c'est quelqu'un de toxique ? Oui, c'est quelqu'un qui semble assez fragile sur le point psychologique et qui est le genre à devoir constamment compter sur les autres... mais ce n'est pas le problème d'un enfant de quinze ans... Après je peux comprendre qu'il ressente le besoin de l'aider car il n'est pas insensible mais zut...
Après, j'ai adoré tout ce qu'il y avait autour. Franchement, du côté amitié, le tome est absolument génial. Les meilleures amies de Fûko sont ultra présentes, elles font attention à elle, la soutiennent, lui laissent de l'espace quand elle en a besoin... On assiste à des scènes vraiment très mignonnes, et malgré les nombreuses fois où notre héroïne est en pleurs, on voit aussi combien elle est entourée. Daiya est aussi un amour. Il est là quelles que soient les situations alors que pourtant on voit aussi que cela le fait souffrir. Mais il prend sur lui, et il n'hésite pas à dire à sa voisine préférée qu'elle n'est pas toujours obligée de faire semblant, et qu'elle peut se montrer triste. Se forcer à sourire n'est pas la solution.
Alors oui, du point de vue émotionnel, c'est un tome très difficile. Mais on sent l'amour des amis de nos héros, et c'est aussi très réconfortant. Un amour qui pousse notre héroïne à gagner du poil de la bête aussi, ce qui est un gros plus. Fûko finit par se battre pour elle-même. Elle apprend, parfois à la dure, mais elle évolue constamment.
Je n'ai jamais été fan du couple Fûko / Ichi, même si leur relation a des côtés très mignons, mais là, c'était le tome qui le confirmait bien. Je ne me rappelle plus trop la suite, mais j'ai encore espoir pour un Daiya / Fûko... le garçon étant pour moi un choix beaucoup plus judicieux à de nombreux niveaux. J'attends donc de voir en espérant que la suite ne me fasse pas trop grincer des dents.
