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Critique de florencem
Mmm… Je ne saurais dire pourquoi, mais je trouve qu'il y a un côté un peu brouillon depuis un petit moment… J'ai plus apprécié la lecture de ce tome que les précédents, mais il reste tout de même cette gestion de la « romance » entre Ichi et Fûko qui est loin d'être claire…
En fait, je trouve même qu'il y a un manque de cohérence entre ce que disent et font les personnages… C'est assez étrange. D'un côte Ichi dit qu'il coupe les ponts avec Iori, mais il continue à la voir, de l'autre Fûko décide de faire un trait sur lui tout en disant qu'elle continue à l'aimer. Ce qui n'est pas forcément incohérent, elle préfère se protéger et elle a tout à fait raison, mais l'enchainement des événements sonne faux. Comme si j'avais loupé quelque chose.
Je ne vais pas m'attarder plus longtemps sur ce passage surtout que les choses bougent un peu entre Fûko et Daiya. Et clairement, je préfère me concentrer sur ces deux-là. Ils sont beaucoup moins prise de tête, plus naturels, et on sent l'alchimie entre eux depuis le départ. Surtout que Daiya ne cesse de montrer à notre jeune héroïne combien il est sérieux. Il la protège, l'écoute, ne la juge pas, la fait rire mais surtout il est honnête. Et cela depuis le départ. Sérieusement, si Nanaji Nagamu décide de nous sortir un secret de son chapeau concernant le jeune homme, je ne réponds plus de rien.
Je veux de la stabilité, un peu de gaité (y en a marre de pleurer !) donc pitié au bout de treize tomes, je veux enfin de la vraie romance… Oui, je suis presque désespérée. Je ne dis pas que jusqu'à présent Parfait Tic n'était pas sympa à lire, loin de là, mais à force de nous faire tourner en bourrique et de briser le coeur de ses personnages, la mangaka n'offre pas beaucoup de répit à ses lecteurs et ses héros. Donc, je veux du changement.
Et c'est ce qui se profile. Mais voilà… il reste encore neuf tomes… Et forcément, il va y avoir des embrouilles… et j'ai peur de voir Fûko se transformer en girouette ce qui : 1) ne serait pas lui rendre honneur car l'adolescente est quand même un personnage top, 2) prendre un peu les lecteurs pour des lapins de six semaines… Mais… j'ai ce gros doute qui plane au-dessus de moi.
Alors oui, toute la partie Daiya et Fûko est trop mignonne et donne du baume au coeur, j'ai adoré tous ces moments, en particulier celui du passage piéton, car mine de rien Nanaji Nagamu maîtrise parfaitement les expressions de ses personnages, et j'ai envie de me focaliser sur ça… seulement ma raison me dit de me méfier… car il y a un petit détail qui est quand même casse-gueule au possible… A vouloir aller trop vite… ça sent la dégringolade.
En fait, je trouve même qu'il y a un manque de cohérence entre ce que disent et font les personnages… C'est assez étrange. D'un côte Ichi dit qu'il coupe les ponts avec Iori, mais il continue à la voir, de l'autre Fûko décide de faire un trait sur lui tout en disant qu'elle continue à l'aimer. Ce qui n'est pas forcément incohérent, elle préfère se protéger et elle a tout à fait raison, mais l'enchainement des événements sonne faux. Comme si j'avais loupé quelque chose.
Je ne vais pas m'attarder plus longtemps sur ce passage surtout que les choses bougent un peu entre Fûko et Daiya. Et clairement, je préfère me concentrer sur ces deux-là. Ils sont beaucoup moins prise de tête, plus naturels, et on sent l'alchimie entre eux depuis le départ. Surtout que Daiya ne cesse de montrer à notre jeune héroïne combien il est sérieux. Il la protège, l'écoute, ne la juge pas, la fait rire mais surtout il est honnête. Et cela depuis le départ. Sérieusement, si Nanaji Nagamu décide de nous sortir un secret de son chapeau concernant le jeune homme, je ne réponds plus de rien.
Je veux de la stabilité, un peu de gaité (y en a marre de pleurer !) donc pitié au bout de treize tomes, je veux enfin de la vraie romance… Oui, je suis presque désespérée. Je ne dis pas que jusqu'à présent Parfait Tic n'était pas sympa à lire, loin de là, mais à force de nous faire tourner en bourrique et de briser le coeur de ses personnages, la mangaka n'offre pas beaucoup de répit à ses lecteurs et ses héros. Donc, je veux du changement.
Et c'est ce qui se profile. Mais voilà… il reste encore neuf tomes… Et forcément, il va y avoir des embrouilles… et j'ai peur de voir Fûko se transformer en girouette ce qui : 1) ne serait pas lui rendre honneur car l'adolescente est quand même un personnage top, 2) prendre un peu les lecteurs pour des lapins de six semaines… Mais… j'ai ce gros doute qui plane au-dessus de moi.
Alors oui, toute la partie Daiya et Fûko est trop mignonne et donne du baume au coeur, j'ai adoré tous ces moments, en particulier celui du passage piéton, car mine de rien Nanaji Nagamu maîtrise parfaitement les expressions de ses personnages, et j'ai envie de me focaliser sur ça… seulement ma raison me dit de me méfier… car il y a un petit détail qui est quand même casse-gueule au possible… A vouloir aller trop vite… ça sent la dégringolade.
