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Critique de Colibrille
Au début de ce huitième volume, l'auteur nous propose une petite parenthèse sur le docteur Uméda. Nous découvrons un épisode de sa jeunesse, alors qu'il est encore lycéen. Nous assistons à ses premiers ébats amoureux pour un garçon. Cette histoire nous permet de voir le docteur Uméda sous un autre jour.
De manière générale, cet tome est centré sur le triangle amoureux formé par Mizuki, Sano et Nakatsu. Depuis que le docteur Uméda lui a rappelé qu'elle était en quelque sorte un mouton au milieu de loups, Mizuki est de plus en plus intimidée par Sano. Elle prend conscience de la masculinité du jeune homme. D'ailleurs, l'auteur nous montre que Mizuki n'apprécie pas seulement Sano pour son talent en tant que sportif, sa personnalité, son courage, mais aussi son physique ! Sano ne va rien faire pour rassurer Mizuki. Au contraire, il se montre de plus en plus entreprenant, un peu malgré lui d'ailleurs. Il ne maîtrise désormais plus ses sentiments et ne cherche pas vraiment à les dissimuler. La preuve est en que lorsque Nakatsu lui demande ce qu'il ressent pour Mizuki, il répond tout simplement : je l'aime. Ça a le mérite d'être clair !
De manière générale, cet tome est centré sur le triangle amoureux formé par Mizuki, Sano et Nakatsu. Depuis que le docteur Uméda lui a rappelé qu'elle était en quelque sorte un mouton au milieu de loups, Mizuki est de plus en plus intimidée par Sano. Elle prend conscience de la masculinité du jeune homme. D'ailleurs, l'auteur nous montre que Mizuki n'apprécie pas seulement Sano pour son talent en tant que sportif, sa personnalité, son courage, mais aussi son physique ! Sano ne va rien faire pour rassurer Mizuki. Au contraire, il se montre de plus en plus entreprenant, un peu malgré lui d'ailleurs. Il ne maîtrise désormais plus ses sentiments et ne cherche pas vraiment à les dissimuler. La preuve est en que lorsque Nakatsu lui demande ce qu'il ressent pour Mizuki, il répond tout simplement : je l'aime. Ça a le mérite d'être clair !
