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Critique de Analire


Il y a plus d'un mois, j'avais découvert ces petits livres qui reprenaient le film-documentaire réalisé par Stephane Plisson sorti en 2013, puis repris par France 5 en 2014. Ma découverte de Carlos – Argentine n'avaient pas été une découverte si concluante que ça. Trop romancé et pas assez réaliste, je n'avais pas apprécié les dialogues superflus, mais avait reconnu la qualité d'images du récit.

Après l'Amérique du Sud, je suis donc partie sur le continent Asiatique, pour découvrir Samuel, un jeune indien de douze ans. Pour se rendre à l'école, Samuel parcourt, avec ses frères, quatre kilomètres à pied chaque matin, soit une heure et quart de route. Ces garçons, déjà bien courageux de parcourir autant de kilomètres pour se rendre à l'école, doivent faire face à un défi supplémentaire. En effet, Samuel a une maladie, qui le contraint à se déplacer en fauteuil roulant.

Ce petit livre offre une jolie vision de la fraternité et de l'entraide. Les deux frères de Samuel l'aident à faire le chemin jusqu'à l'école, tandis qu'à l'école, ce sont les autres élèves qui prennent le relais et prennent en charge Samuel et son fauteuil. C'est beau, et très touchant. le courage de Samuel est aussi à saluer : ce jeune garçon ne se laisse pas abattre par la vie et fonde même de grands espoirs dans la scolarité.

Hélas, comme je l'avais exprimé dans mon précédent article sur cette saga documentaire, les dialogues et les images que nous voyons semblent trop mises en scène et pas assez instantanées. Ce qui fait perdre tout son charme à ces images, qui sont pourtant tellement exotiques…

C'est une critique en demi-teinte que je poste donc. D'un côté, le portrait de tous ces enfants, si courageux et héroïques, ne me laisse pas indifférente. Mais la façon dont ces portraits sont mis en scène me gênent terriblement…
Lien : https://analire.wordpress.co..
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