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Critique de Titania
C'est une BD jeunesse qui a remporté le premier Prix Babelio de sa catégorie ! ...disponible dans ma médiathèque préférée...la curiosité l'a emporté, et je suis repartie avec cet album vert fluo.
Attaquer une série par le tome 8 c'est périlleux et je ne connais pas le passé du personnage principal, juste évoqué dans ses grandes lignes dans le présent épisode. Une jeune fille blonde à lunettes qui part en voyage découvrir le vaste monde, enfin plutôt la province et la vie de village, en sac à dos.
Notre héroïne est un personnage positif, elle est bienveillante, à l'écoute des autres...et des animaux, toute en empathie . Elle partage avec nous ses impressions, comme si elle parlait toute seule.
Je découvre déjà un monde de couleurs acidulées comme une boutique de bonbons. le scénario est bien construit sans temps morts, du départ au retour à la maison, les grandes étapes, les rencontres. Dans les dialogues, écrits avec des caractères ronds comme une écriture d'instit, l'auteur souligne et met en gras les mots qui comptent ...c’est comme si on entendait la voix et ses modulations. Rond aussi le tracé simple du dessin, rempli d'aplats de couleurs.
C'est tout mignon! Un voyage initiatique, de l'amour et de l'amitié. J'aime bien ce regard sur la sortie de l'adolescence, en recherche, pas forcément problématique .
Je comprend le vote des jeunes babelionautes pour un univers sympathique qui fait du bien.
Attaquer une série par le tome 8 c'est périlleux et je ne connais pas le passé du personnage principal, juste évoqué dans ses grandes lignes dans le présent épisode. Une jeune fille blonde à lunettes qui part en voyage découvrir le vaste monde, enfin plutôt la province et la vie de village, en sac à dos.
Notre héroïne est un personnage positif, elle est bienveillante, à l'écoute des autres...et des animaux, toute en empathie . Elle partage avec nous ses impressions, comme si elle parlait toute seule.
Je découvre déjà un monde de couleurs acidulées comme une boutique de bonbons. le scénario est bien construit sans temps morts, du départ au retour à la maison, les grandes étapes, les rencontres. Dans les dialogues, écrits avec des caractères ronds comme une écriture d'instit, l'auteur souligne et met en gras les mots qui comptent ...c’est comme si on entendait la voix et ses modulations. Rond aussi le tracé simple du dessin, rempli d'aplats de couleurs.
C'est tout mignon! Un voyage initiatique, de l'amour et de l'amitié. J'aime bien ce regard sur la sortie de l'adolescence, en recherche, pas forcément problématique .
Je comprend le vote des jeunes babelionautes pour un univers sympathique qui fait du bien.
