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Critique de Vexiana
Ca fait des années que je n'avais pas lu de livre d'épouvante. Adolescente, j'avais presque tout lu de Stephen King et beaucoup de Graham Masterson. Puis ça ne m'avais plus vraiment tenté, je ne sais pas trop pourquoi.
La longue liste d'ouvrages publiée sur le Facebook de Babelio à l'occasion de Halloween m'a redonné envie de frissonner et, en surfant un peu, je trouve ce livre dont le résumé me semble prometteur et je me plonge dans cette histoire mêlant époque contemporaines et années 70, sur fond de secte hippie et de suicide collectif.
Le monde sectaire et ses dérives sont parfaitement décrites et exploitées (rien que ça, ça fait déjà peur), les scènes d'épouvantes sont bien comme on les aime avec des bruits dans les murs, des apparitions inexpliquées, des créatures, du sang…
Mais je n'irai pas par quatre chemins : l'idée est bonne, bien exploité mais quel ennui…
Il y a des passages entiers, surtout au milieu du livre, où je me serais fait une joie de lire en diagonale les descriptions interminables histoire d'arriver à un peu d'action.
La seconde partie du roman était plus dynamique, plus prenante mais j'ai eu l'impression que ça venait trop tard.
Bref, je reste sur ma faim en matière de frissons
La longue liste d'ouvrages publiée sur le Facebook de Babelio à l'occasion de Halloween m'a redonné envie de frissonner et, en surfant un peu, je trouve ce livre dont le résumé me semble prometteur et je me plonge dans cette histoire mêlant époque contemporaines et années 70, sur fond de secte hippie et de suicide collectif.
Le monde sectaire et ses dérives sont parfaitement décrites et exploitées (rien que ça, ça fait déjà peur), les scènes d'épouvantes sont bien comme on les aime avec des bruits dans les murs, des apparitions inexpliquées, des créatures, du sang…
Mais je n'irai pas par quatre chemins : l'idée est bonne, bien exploité mais quel ennui…
Il y a des passages entiers, surtout au milieu du livre, où je me serais fait une joie de lire en diagonale les descriptions interminables histoire d'arriver à un peu d'action.
La seconde partie du roman était plus dynamique, plus prenante mais j'ai eu l'impression que ça venait trop tard.
Bref, je reste sur ma faim en matière de frissons
