Le deuxième et dernier tome d'Une tragédie grecque est dans la même veine que le tome 1. Cette fois l'on suit d'un peu plus près les relations d'Aristote Onassis avec Maria Callas et Jacqueline Kennedy.
BD intéressante, mais comme pour le premier tome, je n'ai pas vraiment accroché. Dommage parce que le sujet et son traitement sont intéressants, et on sent que l'auteur s'est bien renseigné.
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