Pas facile de s'y retrouver dans l'écriture de
Nobécourt, autofiction qui prend ses distances avec le descriptif, lui préférant la métaphore et l'ellipse. A
nous de remplir les creux, au moins on ne peut pas jeter le livre en pestant que l'autrice
nous mâche tout. Mais comment se fait-il qu'on reste ainsi sur sa faim ?
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