Peut-être un peu d'Almodavar par anticipation (La piel que habito), de S.Kon (Perfect Blue), de B.Wilder (Boulevard du crépuscule) et bien d'autres références.
La langue utilisée est précieuse, précise et parfois crue dans ce qu'on aurait pu appeler "Peau d'âme". C'est celle de l'auteur récemment décédé et celle d'Anna, cette star de cinéma qui doute de son corps autant que de la vie.
Être mal dans sa peau, vraiment, obstinément.
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