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Critique de vertescollines
Le courage de Marie
1916. Marie quitte son petit village de Loire-Atlantique pour Paris où est soigné son mari, blessé par de nombreux éclats d'obus. Mais c'est veuve que la jeune institutrice revient chez elle. Quelques semaines plus tard, Marie affronte une nouvelle épreuve, la perte de sa fille, mort-née. Cet événement la pousse à une décision radicale : partir six mois au front en mission auprès de la Croix-Rouge.
Près de Reims, elle retrouve le lieutenant Jean de Trelan, médecin qui avait accompagné les derniers jours de son mari aux Invalides. Cet amour naissant leur apporte force et espoir. C'est une nouvelle vie qui les attend à la fin de la guerre…
1916. Une institutrice perd son mari, blessé à Verdun. Elle croise dans l'hôpital où Martin est hospitalisé le lieutenant médecin Jean de Trelan. Enceinte de 4 mois, elle retourne à Nantes pour s'occuper des deux fils de son mari, attendre son bébé, s'occuper de ses neveux et nièces. Mais l'accouchement se passe mal ; la petite fille ne vit pas. Alors Marie s'étiole. Puis elle reprend sa vie : elle part en mission avec la Croix Rouge et aidera les blessés en tant qu'aide soignante. Elle y rencontre à nouveau Jean de Trelan. Ils se découvrent l'un l'autre, tombent amoureux. Mais la guerre les sépare ; puis le handicap de Jean. Mais malgré toutes ses épreuves, Marie ne se décourage pas, retrouve l'amour de son homme et reprend le cours de sa vie.
Une belle leçon de courage et un magnifique témoignage sur la situation des femmes de la guerre 1914-1918 et de l'après-guerre. Marie est une pionnière en ce sens. Elle travaille, s'occupe de son foyer. Une femme moderne qui a su faire face à ses malheurs. Dans ce récit, bouleversant, l'auteur évoque le rôle primordial, vital des femmes pendant la Grande Guerre.
C'est un premier roman très réussi. Une édition Nouvelles Plumes. L'ambiance de l'époque y ait bien représentée, bien transcrite. de bons personnages auquel on s'attache. Un seul regret : peu de faits de guerre mais une très très belle histoire d'amour.
J'ai aimé, ri, pleuré avec Marie. Et j'avoue que je l'ai aussi un peu admiré. Quelle audace d'aller au « bordel » pour avoir des conseils pour reconquérir son mari. Quelle force devant l'indifférence de son mari, de sa belle-famille.
A lire pour le témoignage d'une femme pendant la Grande Guerre.
Je le prête à mon amie Jocelyne puis à d'autres.
1916. Marie quitte son petit village de Loire-Atlantique pour Paris où est soigné son mari, blessé par de nombreux éclats d'obus. Mais c'est veuve que la jeune institutrice revient chez elle. Quelques semaines plus tard, Marie affronte une nouvelle épreuve, la perte de sa fille, mort-née. Cet événement la pousse à une décision radicale : partir six mois au front en mission auprès de la Croix-Rouge.
Près de Reims, elle retrouve le lieutenant Jean de Trelan, médecin qui avait accompagné les derniers jours de son mari aux Invalides. Cet amour naissant leur apporte force et espoir. C'est une nouvelle vie qui les attend à la fin de la guerre…
1916. Une institutrice perd son mari, blessé à Verdun. Elle croise dans l'hôpital où Martin est hospitalisé le lieutenant médecin Jean de Trelan. Enceinte de 4 mois, elle retourne à Nantes pour s'occuper des deux fils de son mari, attendre son bébé, s'occuper de ses neveux et nièces. Mais l'accouchement se passe mal ; la petite fille ne vit pas. Alors Marie s'étiole. Puis elle reprend sa vie : elle part en mission avec la Croix Rouge et aidera les blessés en tant qu'aide soignante. Elle y rencontre à nouveau Jean de Trelan. Ils se découvrent l'un l'autre, tombent amoureux. Mais la guerre les sépare ; puis le handicap de Jean. Mais malgré toutes ses épreuves, Marie ne se décourage pas, retrouve l'amour de son homme et reprend le cours de sa vie.
Une belle leçon de courage et un magnifique témoignage sur la situation des femmes de la guerre 1914-1918 et de l'après-guerre. Marie est une pionnière en ce sens. Elle travaille, s'occupe de son foyer. Une femme moderne qui a su faire face à ses malheurs. Dans ce récit, bouleversant, l'auteur évoque le rôle primordial, vital des femmes pendant la Grande Guerre.
C'est un premier roman très réussi. Une édition Nouvelles Plumes. L'ambiance de l'époque y ait bien représentée, bien transcrite. de bons personnages auquel on s'attache. Un seul regret : peu de faits de guerre mais une très très belle histoire d'amour.
J'ai aimé, ri, pleuré avec Marie. Et j'avoue que je l'ai aussi un peu admiré. Quelle audace d'aller au « bordel » pour avoir des conseils pour reconquérir son mari. Quelle force devant l'indifférence de son mari, de sa belle-famille.
A lire pour le témoignage d'une femme pendant la Grande Guerre.
Je le prête à mon amie Jocelyne puis à d'autres.
