Le septième tome donne lieu à un combat psychologique intense entre le procureur Goi et Miroku.
Une joute verbale s'établie entre les deux hommes. La tension est palpable mais l'on ressent un regain d'assurance chez le héros. C'est toujours très bien écrit, les pensées sont fortes de sens et se focalisent sur la volonté de puissance : le combat entre la domination et la soumission, l'acte et ses conséquences.
Les sources de la pensée nietzschéenne se juxtaposent et offrent un savoureux moment.
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