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Critique de Alfaric
Dans ce tome 6, Luffy est obligé de travailler comme serveur pour rembourser les dégâts occasionnés au Baratie, Nami vamp Sandy, Sandy se prend la tête avec Pattie… Jusqu'au moment où le Capitaine Creek guidé par Gyn, précédemment secouru par Sandy, arrive dans la place !
Le pirate racaille qui meurt de faim est à son tour secouru par Sandy le second maître coq malgré les protestations de tout l'équipage du Baratie, avant que Zeff le maître coq ne secourt à son tour son équipage qui lui aussi meurt de faim. Un repas et tout le monde est d'aplomb : c'est un running gag piqué à "Dragon Ball", qui ici tombe à plat car les haricots magiques sont remplacés par de la boustifaille tout ce qu'il y a de plus classique.
Arrive à l'improviste Mihawk, l'homme aux yeux de faucon, l'hidalgo meilleur escrimeur au monde qui est venu de la route de tous les périls achevé ce qu'il avait commencé : anéantir la flotte du fourbe Capitaine Creek… Évidemment Zorro passe en mode nekketsu, et son sang bouillonnant il ne peut s'empêcher de le défier en duel ! le combat qui s'ensuit relève considérablement le niveau du tome, même si tout ou presque est repiqué de la saga "Dragon Quest" et que tout ça fait un peu cheveu tombé dans la soupe puisque qu'en hommage au courage de Zorro, Mihawk repart d'où il est venu sans demander son reste… Aussitôt arrivé, aussitôt reparti quoi.
Après ce sympathique interlude, la bataille entre les hommes Capitaine Creek et ceux de Zeff aux pieds rouges reprend de plus belle, Luffy se battant comme un beau diable pendant que le Baratie dévoile ses armes secrètes. Et Sandy entre en scène… (Tandis que Nami, plus Fujiko Mine que jamais, se fait la malle avec le Merry et le trésor de Johnny et Yosaku : on nous explique qu'en fait elle aurait une lourde dette à payer donc on est dans le foreshawing)
Ce tome 6 est meilleur que les précédents, mais ça reste gamin avec des dialogues contradictoires et des situations incohérentes. Je sais bien qu'on est dans une série qui mise sur l'humour et la loufoquerie, mais quand même...
Le pirate racaille qui meurt de faim est à son tour secouru par Sandy le second maître coq malgré les protestations de tout l'équipage du Baratie, avant que Zeff le maître coq ne secourt à son tour son équipage qui lui aussi meurt de faim. Un repas et tout le monde est d'aplomb : c'est un running gag piqué à "Dragon Ball", qui ici tombe à plat car les haricots magiques sont remplacés par de la boustifaille tout ce qu'il y a de plus classique.
Arrive à l'improviste Mihawk, l'homme aux yeux de faucon, l'hidalgo meilleur escrimeur au monde qui est venu de la route de tous les périls achevé ce qu'il avait commencé : anéantir la flotte du fourbe Capitaine Creek… Évidemment Zorro passe en mode nekketsu, et son sang bouillonnant il ne peut s'empêcher de le défier en duel ! le combat qui s'ensuit relève considérablement le niveau du tome, même si tout ou presque est repiqué de la saga "Dragon Quest" et que tout ça fait un peu cheveu tombé dans la soupe puisque qu'en hommage au courage de Zorro, Mihawk repart d'où il est venu sans demander son reste… Aussitôt arrivé, aussitôt reparti quoi.
Après ce sympathique interlude, la bataille entre les hommes Capitaine Creek et ceux de Zeff aux pieds rouges reprend de plus belle, Luffy se battant comme un beau diable pendant que le Baratie dévoile ses armes secrètes. Et Sandy entre en scène… (Tandis que Nami, plus Fujiko Mine que jamais, se fait la malle avec le Merry et le trésor de Johnny et Yosaku : on nous explique qu'en fait elle aurait une lourde dette à payer donc on est dans le foreshawing)
Ce tome 6 est meilleur que les précédents, mais ça reste gamin avec des dialogues contradictoires et des situations incohérentes. Je sais bien qu'on est dans une série qui mise sur l'humour et la loufoquerie, mais quand même...
