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Critique de Alfaric


On m’avait tanné pour continuer, car à partir du tome 12 cela devait décoller… et ben j’y suis, cela décolle enfin mène si chassez le naturel il revient au galop : les loufoqueries et les gamineries sont toujours de la partie !

On commence par la team Luffy qui s’enfuit dans le désordre le plus complet de Loguetown pour échapper à la fois aux membres de la marine menés par le Colonel Smoker et aux membres de la flibuste menés par Baggy en mode fragment-bolide et Arbyta en mode méga-schuss… (foreshadowing avec un mystérieux et puissant inconnu qui leur permet de prendre la poudre d’escampette)

On continue on rejoignant la route de tous les périls : en venant de East Blue, on traverse le calm belt avant de suivre les courants jusqu’à la reverse mountain qui permet de traverser Red Line tel des montagnes russes de fête foraine…

On continue avec un détournement de Jonas et la Baleine, qui fait jouer la corde sensible avec cet histoire de baleineau qui attend désespérément ses mais pirates qui ont abandonné l’aventure de la route de tous les périls depuis des décennies… mais c’est évidemment plein de loufoquerie avec cette baleine pleine de portes et de couloirs, ces mystérieux Miss Wednesday Mr 9 qui sont là on ne sait pas trop pourquoi, et Luffy qui se bastonne avec le monstre marin pour devenir son copain…

Une fois que Crocus le gardien du phare du cap des jumeaux a expliqué le fonctionnement de la route de tous les périls, la team Luffy une île recouverte par des cactus géant où chaque épine est une pierre tombale… elle est chaleureusement accueillie par la population locale mais en fait il s’agit de Baroque Works, une redoutable compagnie de chasseurs de primes sur laquelle Zorro meurt d’envie d’essayer ses nouveaux sabres !


Les dessins gagnent en qualité, sauf que… Eiichiro Oda utilise constamment les mêmes ficelles, donc comme tout le monde affiche les mêmes gimmicks, grimaces, rires, pleurs & cie, l’impression de répétition voire de décalque se fait sentir tôt au tard…
Niveau scénario c’est plus varié car on entre enfin dans le vif du sujet, sauf que… j’ai tout de suite compris que cette histoire de chemins magnétiques qu’on peut suivre que d’une île à l’autre grâce au log pose n’est qu’une énorme ficelle pour justifier la répétitivité du schéma 1 île, 1 méchant et ses lieutenants, potes de Luffy vs lesdits lieutenants, Luffy vs ledit méchant (et ce sur xxx tomes bien entendu car tant qu’on on gagne on joue)…
Pourquoi à East Blue tout le monde semble revenir de la route de tous les périls alors que le chemin est vers cette dernière est censé être à sens unique ? Pourquoi on recherche la carte secrète qui indique la route de tous les périls alors que son entrée est un lieu connu de tous ceux qui font un peu de navigation ? Pourquoi la Marine perd son temps à surveiller un endroit dont personne ne revient au lieu de protéger la population ?... Maintenant je sais d’où viennent les incohérences monstrueuses des mangakas de la génération d’Eiichiro Oda !
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