Ce livre est la suite de «
La papeterie Tsubaki » et l'on retrouve ses personnages et son cadre délicat et japonais !
Les rituels de Hatoko, écrivain publique et calligraphe, se mêlent cette fois à sa vie personnelle puisqu'elle vient d'épouser Mitsuro et ainsi de lier sa vie avec la charmante petite Haru.
La vie quotidienne est toujours détaillée avec beaucoup de grâce, mais c'est surtout son expérience de calligraphe qui, pour moi, est la plus intéressante.
En effet elle doit faire preuve d'empathie avec ses interlocuteurs pour trouver les bonnes formulations, le bon papier et le bon timbre pour exprimer exactement ce qu'ils souhaitent : demande de pardon, lettre de réconciliation, lettre de condoléance, …
Comme le précédent, je l‘ai lu comme un conte hors du temps où les difficultés de la vie ne disparaissent pas mais apparaissent comme à travers un voile, et ma foi en ce moment ce n'est pas désagréable…
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