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Critique de florencem
On aurait pu s'attendre à une remontée de niveau, mais… non… loin de là. C'est même pire que le tome précédent. Et pourtant, encore une fois, il y a tout à fait le potentiel pour faire de ce shonen quelque chose de moins potache, de moins vulgaire et de plus intéressant. Un tel potentiel gâché, ça me fait mal au coeur…
Après Agito, c'est au tour de Kazu de reprendre du poil de la bête. A ce train-là, j'espère que tous les membres du gang ne vont pas avoir droit à leur tome… surtout vu le traitement fait par Oh ! Great… Donc, après avoir assisté à la mort de Spit Fire et de s'en sentir responsable, voilà que le jeune homme perd les regalia du roi du feu. Si ce n'est pas de la poisse quand même… Enfin, perdre c'est un bien grand mot, disons qu'ils ont été volés par l'un des personnages les plus ambigus de Air Gear (mais cela revient au même, on est d'accord… ne pas surveiller un tel trésor, c'est de la stupidité et surtout de la redondance au niveau scénario… passons).
A partir de là et malgré un début de tome ridicule, il y avait pourtant de quoi faire :
- au niveau psychologique, vu que Kazu est traumatisé par ce qu'il a vécu,
- au scénaristique, avec un développement du personnage et surtout de son ascension
- au niveau graphique, en nous donnant des scènes stylisées via son entraînement et sa remise en selle…
Sans suspens, rien de tout cela n'arrive.
Au lieu de cela, Ikki décide de monter un scénario bien bidon pour pousser Kazu à rendre du poil de la bête. On vous le donne dans le mille, cela se passe dans un club de nudiste fanatique (bah oui, voyons). Donc on y va avec les scènes de jeunes filles nues à outrance et ridicules à souhaite. Mais où est le Air Gear des tomes onze, douze, treize et compagnie ? Où !!??
C'est donc ridicule. On a quelques petits moments classes, quand même, mais j'étais tellement blasée que j'avoue n'y avoir pas vraiment fait attention. Les quelques passages sérieux se trouvent vers la fin avec Ringo qui nous montre ce que les Gravity Children deviennent. Mais cela s'arrête là.
Si j'en crois mes notes des derniers tomes, cela devrait reprendre un peu plus tard… Pas sûre que je survive cependant à un autre tome du genre.
Après Agito, c'est au tour de Kazu de reprendre du poil de la bête. A ce train-là, j'espère que tous les membres du gang ne vont pas avoir droit à leur tome… surtout vu le traitement fait par Oh ! Great… Donc, après avoir assisté à la mort de Spit Fire et de s'en sentir responsable, voilà que le jeune homme perd les regalia du roi du feu. Si ce n'est pas de la poisse quand même… Enfin, perdre c'est un bien grand mot, disons qu'ils ont été volés par l'un des personnages les plus ambigus de Air Gear (mais cela revient au même, on est d'accord… ne pas surveiller un tel trésor, c'est de la stupidité et surtout de la redondance au niveau scénario… passons).
A partir de là et malgré un début de tome ridicule, il y avait pourtant de quoi faire :
- au niveau psychologique, vu que Kazu est traumatisé par ce qu'il a vécu,
- au scénaristique, avec un développement du personnage et surtout de son ascension
- au niveau graphique, en nous donnant des scènes stylisées via son entraînement et sa remise en selle…
Sans suspens, rien de tout cela n'arrive.
Au lieu de cela, Ikki décide de monter un scénario bien bidon pour pousser Kazu à rendre du poil de la bête. On vous le donne dans le mille, cela se passe dans un club de nudiste fanatique (bah oui, voyons). Donc on y va avec les scènes de jeunes filles nues à outrance et ridicules à souhaite. Mais où est le Air Gear des tomes onze, douze, treize et compagnie ? Où !!??
C'est donc ridicule. On a quelques petits moments classes, quand même, mais j'étais tellement blasée que j'avoue n'y avoir pas vraiment fait attention. Les quelques passages sérieux se trouvent vers la fin avec Ringo qui nous montre ce que les Gravity Children deviennent. Mais cela s'arrête là.
Si j'en crois mes notes des derniers tomes, cela devrait reprendre un peu plus tard… Pas sûre que je survive cependant à un autre tome du genre.
