>
Critique de Sachan
Il n'y a pas à dire, Shinobu Ohtaka continue de nous en mettre plein les yeux avec ses sublimes couvertures et les doubles pages incroyables ultra détaillées. Orient semble atteindre un pic dans ce cinquième volume, c'est clairement la fin du premier arc narratif qui mettait les bases de l'histoire en présentant l'univers, les personnages et les enjeux de chacun.
Musashi qui déprimait il y a peu, s'est reprit en main et part aider ses camarades de clan qui sont en danger face à Inukai. Une bataille incroyable s'enchaîne, c'est nerveux et dynamique, on ne sait plus où donner de la tête, mais on comprend enfin l'identité de la fameuse déesse obsidienne et l'importance d'être son hôte.
Musashi est enfin accepté par les bûshi, les rumeurs sur les détenteurs de cristaux noirs étant faux au final et surtout en obtenant sa véritable couleur ! Kojirô est comme toujours la voix de la raison, celui qui veille sur les autres, leur point d'attache, pendant que Tsugumi essaye de tourner la page sur ses drames familiaux et en essayant d'en tirer des choses bénéfiques.
Cet opus était un gros condensé de combats épiques et d'informations essentielles pour la suite. Tout se déroule très rapidement et le dessin si particulier de la mangaka avec un trait marqué, ainsi qu'un sens du détail très précis, s'y prête très bien.
Orient est un peu comme un diesel, cela a mis un certain temps à se lancer, mais une fois que c'est partit, on ne peut plus s'en passer.
Musashi qui déprimait il y a peu, s'est reprit en main et part aider ses camarades de clan qui sont en danger face à Inukai. Une bataille incroyable s'enchaîne, c'est nerveux et dynamique, on ne sait plus où donner de la tête, mais on comprend enfin l'identité de la fameuse déesse obsidienne et l'importance d'être son hôte.
Musashi est enfin accepté par les bûshi, les rumeurs sur les détenteurs de cristaux noirs étant faux au final et surtout en obtenant sa véritable couleur ! Kojirô est comme toujours la voix de la raison, celui qui veille sur les autres, leur point d'attache, pendant que Tsugumi essaye de tourner la page sur ses drames familiaux et en essayant d'en tirer des choses bénéfiques.
Cet opus était un gros condensé de combats épiques et d'informations essentielles pour la suite. Tout se déroule très rapidement et le dessin si particulier de la mangaka avec un trait marqué, ainsi qu'un sens du détail très précis, s'y prête très bien.
Orient est un peu comme un diesel, cela a mis un certain temps à se lancer, mais une fois que c'est partit, on ne peut plus s'en passer.
