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Critique de clemia


Que de nostalgie à la lecture de ce manga. J'avais regardé l'anime dans mon adolescence et c'est une de ces séries difficiles à oublier dont le chant de l'opening vous hante à jamais.
Evidemment quand j'ai vu ce premier double-tome, je ne pouvais que me lancer dans le manga. Attention, le dessin est typique des années 2000, un peu vieillot mais finalement, cela n'a qu'ajouter à la nostalgie de me replonger dans cette histoire.

Pour faire court, alors que Kota et sa cousine Yuka se promènent sur la plage de Kamakura, ils tombent sur une jeune femme nue que le courant avait manifestement poussé vers la rive. Cette jeune femme aux yeux immenses et innocents ne semble pas parler ou comprendre le japonais, et elle ne fait que répéter "Nyu" à tout bout de champ. Les deux jeunes la ramènent dans la maison occupée par Kota...
La mystérieuse inconnue n'est autre que Lucy, une diclonius, un genre nouveau, une espèce mutante qui pourrait venir à bout de l'humanité grâce à leur pouvoir très spéciaux.

L'histoire alterne entre des scènes finalement très mignonnes et des scènes d'une très grande violence psychologique et physique qui laissent présager un développement tragique et inévitable...Il me tarde de continuer cette redécouverte d'un des anime qui m'aura le plus marqué !
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