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Critique de XanderOne
Monster Musume est une série qui compte déjà treize tomes au Japon, ainsi que six tomes aux États-Unis, et je désespérais de la voir arriver en France, sachant qu'on est souvent en avance sur les américains. J'avais tout de même pu me consoler l'an dernier en regardant l'anime diffusé sur Crunchyroll. Mais par bonheur, les éditions Ototo ont annoncées il y a peu l'arrivé du titre chez nous, et j'étais donc, vous vous en doutez, très impatient !
Avant tout, sachez qu'il ne faut pas vraiment se fier au résumé qui par certains aspects pourrait faire croire qu'il s'agit là d'un titre sérieux. C'est du pur WTF, avec un énorme coté Fan-Service totalement assumé. Toutes les situations sont faites pour que les jolies demoiselles se dénudent à un moment ou un autre.
J'aime bien l'idée de départ, d'intégrer à la population humaine de multiples races comme des Centaures, des Lamia, Slime ou encore Harpie. La cohabitation ne se fait pas simplement, et ces créatures sont encore mal appréciés des humains. On peut facilement deviner une dénonciation du racisme dans ce manga, ce qui je trouve est une très bonne idée. Après tout, ce n'est pas parce-que l'on a ici un titre déjanté et délirant qu'on ne peut pas faire passer un message sur un fait de société malheureusement trop présent.
Le manga commence assez tranquillement puisque nous suivons le jeune Kimihito qui doit accueillir chez lui Miia une Lamia (ou femme-serpent si vous ne connaissez pas le terme). Reconnaissante envers Kimihito, la belle Lamia va tomber sous son charme et n'avoir de cesse de lui tourner autour, alors que les relations inter-espèces sont pour l'instant interdites. Lors des deux premiers chapitres nous allons suivre leur cohabitation et nous allons en apprendre plus sur les règles qu'ils doivent respecter, comme par exemple, qu'un non-humain ne doit pas frapper un humain sous peine d'être renvoyer chez lui. Et cela marche aussi dans l'autre sens ! Autant dire qu'il faut être prudent et que l'harmonie doit être parfaite.
Dans les chapitre 3 et 4 nous allons faire la connaissance de Papi la Harpie ainsi que ce Cerea la Centaure, qui comme par hasard vont devoir vivre sous le même toit que Kimihito, alors qu'il héberge déjà Miia. Normalement, ce n'est pas possible mais la coordinatrice qui dirige tout ça, Mme Smith semble n'en faire qu'à sa tête et voit en Kimihito un parfait cobaye pour un projet dont je ne vous dévoilerais rien. Dans le deuxième tome, une nouvelle non-humaine fait son apparition et va causer quelques soucis à notre joyeuse bande. Au total je crois qu'il va y avoir huit non-humaines gravitant autour de Kimihito. Sur les deux premiers tomes, nous en rencontrons déjà cinq mais de ce que je me souviens de l'anime, il y en avait d'autres qui apparaissaient un peu plus tard.
C'est très drôle, on ne s'ennuie pas une minute, mais il est clair qu'il ne faut pas prendre ce manga au sérieux. Même si le message de fond est intéressant, ce n'est qu'un prétexte pour faire un manga de type Harem comme seuls les japonais savent le faire. Les dessins sont très beaux, la plastique des demoiselles est vraiment bien réussie, les cases sont bien larges et très claires.
On peut trouver que ce manga est absurde, que le coté Fan-Service est trop omniprésent ou encore que l'humour va trop loin, mais c'est justement le but de ce manga. Si vous voulez quelque chose de sérieux, passez votre chemin, mais si vous voulez vous détendre et lire un manga vraiment drôle et original, alors Monster Musume est le manga idéal. À mi-chemin entre Prison-School et Freaky Girls, ce titre ne vous laissera pas indifférent !
L'édition d'Ototo est comme toujours, de très bonne facture et nous avons droit comme souvent à deux pages couleurs par tome. La traduction est assurée par Yoan Giraud que l'on a pu voir à l'oeuvre dans les manga Overlord et plus récemment dans Re:Zero édités également chez Ototo.
Lien : https://chezxander.wordpress..
Avant tout, sachez qu'il ne faut pas vraiment se fier au résumé qui par certains aspects pourrait faire croire qu'il s'agit là d'un titre sérieux. C'est du pur WTF, avec un énorme coté Fan-Service totalement assumé. Toutes les situations sont faites pour que les jolies demoiselles se dénudent à un moment ou un autre.
J'aime bien l'idée de départ, d'intégrer à la population humaine de multiples races comme des Centaures, des Lamia, Slime ou encore Harpie. La cohabitation ne se fait pas simplement, et ces créatures sont encore mal appréciés des humains. On peut facilement deviner une dénonciation du racisme dans ce manga, ce qui je trouve est une très bonne idée. Après tout, ce n'est pas parce-que l'on a ici un titre déjanté et délirant qu'on ne peut pas faire passer un message sur un fait de société malheureusement trop présent.
Le manga commence assez tranquillement puisque nous suivons le jeune Kimihito qui doit accueillir chez lui Miia une Lamia (ou femme-serpent si vous ne connaissez pas le terme). Reconnaissante envers Kimihito, la belle Lamia va tomber sous son charme et n'avoir de cesse de lui tourner autour, alors que les relations inter-espèces sont pour l'instant interdites. Lors des deux premiers chapitres nous allons suivre leur cohabitation et nous allons en apprendre plus sur les règles qu'ils doivent respecter, comme par exemple, qu'un non-humain ne doit pas frapper un humain sous peine d'être renvoyer chez lui. Et cela marche aussi dans l'autre sens ! Autant dire qu'il faut être prudent et que l'harmonie doit être parfaite.
Dans les chapitre 3 et 4 nous allons faire la connaissance de Papi la Harpie ainsi que ce Cerea la Centaure, qui comme par hasard vont devoir vivre sous le même toit que Kimihito, alors qu'il héberge déjà Miia. Normalement, ce n'est pas possible mais la coordinatrice qui dirige tout ça, Mme Smith semble n'en faire qu'à sa tête et voit en Kimihito un parfait cobaye pour un projet dont je ne vous dévoilerais rien. Dans le deuxième tome, une nouvelle non-humaine fait son apparition et va causer quelques soucis à notre joyeuse bande. Au total je crois qu'il va y avoir huit non-humaines gravitant autour de Kimihito. Sur les deux premiers tomes, nous en rencontrons déjà cinq mais de ce que je me souviens de l'anime, il y en avait d'autres qui apparaissaient un peu plus tard.
C'est très drôle, on ne s'ennuie pas une minute, mais il est clair qu'il ne faut pas prendre ce manga au sérieux. Même si le message de fond est intéressant, ce n'est qu'un prétexte pour faire un manga de type Harem comme seuls les japonais savent le faire. Les dessins sont très beaux, la plastique des demoiselles est vraiment bien réussie, les cases sont bien larges et très claires.
On peut trouver que ce manga est absurde, que le coté Fan-Service est trop omniprésent ou encore que l'humour va trop loin, mais c'est justement le but de ce manga. Si vous voulez quelque chose de sérieux, passez votre chemin, mais si vous voulez vous détendre et lire un manga vraiment drôle et original, alors Monster Musume est le manga idéal. À mi-chemin entre Prison-School et Freaky Girls, ce titre ne vous laissera pas indifférent !
L'édition d'Ototo est comme toujours, de très bonne facture et nous avons droit comme souvent à deux pages couleurs par tome. La traduction est assurée par Yoan Giraud que l'on a pu voir à l'oeuvre dans les manga Overlord et plus récemment dans Re:Zero édités également chez Ototo.
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