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Critique de Alfaric
J’ai déjà bien ragé sur le tome 1 donc je vais faire plus court pour le tome 2.
Nous suivons les duos Maka / Soul Eater et Black*Star / Tsubaki qui en travaux de rattrapage doivent enquête sur un cas de professeur zombie avant de devoir mettre fin aux agissements du Docteur Frankestein, aussi génial que fou qui était le meister du père de Maka avant que celui-ci ne rencontre sa mère. Mais tout va bien, malgré les menaces, les coups et les blessures, tout ceci n’était qu’un test pour les seuls apprentis faucheurs d’âmes n’ayant capturé aucune âme…
Sinon, on nous explique bien le principe de résonance des âmes, repompage même pas déguisé de "Shaman King", dans les très shonenesques combats entre les nouveaux élèves et l’ancien professeur puis entre Death the Kid et le binôme formé par Black*Star et Soul Eater (qui apprennent dans la douleur que si c’est trop cool d’être un branlou, c’est super relou de devoir travailler avec un branlou).
L’intrigue devient enfin plus intéressante avec les derniers chapitres, Maka et Soul Eater devant arrêter les agissements de Crona la meister spécialisée dans le maniement d’épée et de Ragnarok la lame damnée, manipulés par la sorcière Medusa, et soupçonnés de vouloir donner vie à un nouveau « Grand Dévoreur. Devant un si grand péril, Frankenstein et Spirit reforment leur équipe et volent au secours de leurs protégés…
Le concept des armes vivantes et/ou intelligentes est excellent (voir Stormbringer dans la saga d’Elric écrite par Michael Moorcock), mais si les armes sont des êtres humains à part entière pouvant se transformer en armes, il perd tout son intérêt. Surtout quand on voit le mangaka plagie l’Onde et les stands de "JoJo’s Bizarre Adventure"… mdr
Soul Eater est contaminé par le sang noir de Ragnarok, et Médusa s’avère être l’un des professeurs de Shibusen. Et bien voilà des twists qui remontent bien le niveau !
Graphiquement c’est plus abouti que le tome 1, même si cela ne reste pas super emballant pour autant. D’ailleurs les scènes de baston mieux fichues prennent l’ascendant sur les scènes de boobs qui disparaissent presque de l’ensemble ! Au final c’est bien moins pire que ce à quoi je m’attendais après la lecture du tome 1, mais on reste quand même dans un shonen de recyclage comme en ont beaucoup produit les années 2000. 1,5/5 arrondi à 2 étoiles...
Nous suivons les duos Maka / Soul Eater et Black*Star / Tsubaki qui en travaux de rattrapage doivent enquête sur un cas de professeur zombie avant de devoir mettre fin aux agissements du Docteur Frankestein, aussi génial que fou qui était le meister du père de Maka avant que celui-ci ne rencontre sa mère. Mais tout va bien, malgré les menaces, les coups et les blessures, tout ceci n’était qu’un test pour les seuls apprentis faucheurs d’âmes n’ayant capturé aucune âme…
Sinon, on nous explique bien le principe de résonance des âmes, repompage même pas déguisé de "Shaman King", dans les très shonenesques combats entre les nouveaux élèves et l’ancien professeur puis entre Death the Kid et le binôme formé par Black*Star et Soul Eater (qui apprennent dans la douleur que si c’est trop cool d’être un branlou, c’est super relou de devoir travailler avec un branlou).
L’intrigue devient enfin plus intéressante avec les derniers chapitres, Maka et Soul Eater devant arrêter les agissements de Crona la meister spécialisée dans le maniement d’épée et de Ragnarok la lame damnée, manipulés par la sorcière Medusa, et soupçonnés de vouloir donner vie à un nouveau « Grand Dévoreur. Devant un si grand péril, Frankenstein et Spirit reforment leur équipe et volent au secours de leurs protégés…
Le concept des armes vivantes et/ou intelligentes est excellent (voir Stormbringer dans la saga d’Elric écrite par Michael Moorcock), mais si les armes sont des êtres humains à part entière pouvant se transformer en armes, il perd tout son intérêt. Surtout quand on voit le mangaka plagie l’Onde et les stands de "JoJo’s Bizarre Adventure"… mdr
Soul Eater est contaminé par le sang noir de Ragnarok, et Médusa s’avère être l’un des professeurs de Shibusen. Et bien voilà des twists qui remontent bien le niveau !
Graphiquement c’est plus abouti que le tome 1, même si cela ne reste pas super emballant pour autant. D’ailleurs les scènes de baston mieux fichues prennent l’ascendant sur les scènes de boobs qui disparaissent presque de l’ensemble ! Au final c’est bien moins pire que ce à quoi je m’attendais après la lecture du tome 1, mais on reste quand même dans un shonen de recyclage comme en ont beaucoup produit les années 2000. 1,5/5 arrondi à 2 étoiles...
