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Critique de panurge
E PARADOXE PAR EXCELLENCE
A l'heure où nos voisins insulaires ne savent sur quel pied quitter le Continent, je feuilletais, pas plus tard qu'hier, ce livre.
Le titre laisse perplexe...Si on appelle cuisine l'art d'alterner en quantités variables des mets crus ou cuits, assaisonnés ou non, plus ou moins riches en protéines (le poisson), lipides (les frites), glucides (le journal*), la cuisine anglaise existe en soi.
Pour le reste, on peut véritablement douter de la validité de la proposition dès lors que les gens comptent en pouces conduisent à gauche et font la queue sans tenter de doubler tout le monde, de resquiller ou de bousculer sans s'excuser.
L'absence du sens des portions, la capacité à ne pas transgresser la Loi (En Angleterre les Tatin sisters auraient jeté la tarte au lieu de rattraper le coup), le fait de mélanger le dessert avec un plat principal particulièrement intriguant expliquent l'aspect baroque des menus typiques.
Si on suit les Britons dont l'incommensurable orgueil leur permet de croire que Napoléon est toujours vivant, nous serions bien avisés de respecter leurs créations destinées à la bouche et au goût (et non pas à la bouche d'égout). Ils devraient se rappeler que la vache aime l'herbe ce qui ne fait pas d'elles des gastronomes.
Bien sûr, grâce à nos voisins bien-aimés, Jeanne d'Arc s'est éteinte trois heures après sa mort, la Home Fleet nous a mis une branlée cosmique à Trafalgar, le Crunch reste un moment pénible (façon examen de la prostate chez l'urologue), mais pour ce qui est de "la bonne bouffe" faudra repasser !
* Un très sérieux article de diététique publié dans le "Lancet Gastroenterology" intitulé "Does the fish and chips wrapping paper is eatable by DM2 patients ?-A glucide rate analysis of the Sun, the Daily Telegraph, the Guardian, the Times; a randomized placebo-controlled trial firsts results" publiée par Snack and al.on behalf of Specialists United Group Absurd Research-Cooperative Group a récemment démontré l'importance de l'emballage cornet avec une différence significative (en allant du moins hyperglycemiant ou plus hyperglycemiant) en faveur du Sun...Ceci s'expliquerait par the "Bikini effect" de la page où une belle plante expose ses appâts !
Lien : https://www.babelio.com
A l'heure où nos voisins insulaires ne savent sur quel pied quitter le Continent, je feuilletais, pas plus tard qu'hier, ce livre.
Le titre laisse perplexe...Si on appelle cuisine l'art d'alterner en quantités variables des mets crus ou cuits, assaisonnés ou non, plus ou moins riches en protéines (le poisson), lipides (les frites), glucides (le journal*), la cuisine anglaise existe en soi.
Pour le reste, on peut véritablement douter de la validité de la proposition dès lors que les gens comptent en pouces conduisent à gauche et font la queue sans tenter de doubler tout le monde, de resquiller ou de bousculer sans s'excuser.
L'absence du sens des portions, la capacité à ne pas transgresser la Loi (En Angleterre les Tatin sisters auraient jeté la tarte au lieu de rattraper le coup), le fait de mélanger le dessert avec un plat principal particulièrement intriguant expliquent l'aspect baroque des menus typiques.
Si on suit les Britons dont l'incommensurable orgueil leur permet de croire que Napoléon est toujours vivant, nous serions bien avisés de respecter leurs créations destinées à la bouche et au goût (et non pas à la bouche d'égout). Ils devraient se rappeler que la vache aime l'herbe ce qui ne fait pas d'elles des gastronomes.
Bien sûr, grâce à nos voisins bien-aimés, Jeanne d'Arc s'est éteinte trois heures après sa mort, la Home Fleet nous a mis une branlée cosmique à Trafalgar, le Crunch reste un moment pénible (façon examen de la prostate chez l'urologue), mais pour ce qui est de "la bonne bouffe" faudra repasser !
* Un très sérieux article de diététique publié dans le "Lancet Gastroenterology" intitulé "Does the fish and chips wrapping paper is eatable by DM2 patients ?-A glucide rate analysis of the Sun, the Daily Telegraph, the Guardian, the Times; a randomized placebo-controlled trial firsts results" publiée par Snack and al.on behalf of Specialists United Group Absurd Research-Cooperative Group a récemment démontré l'importance de l'emballage cornet avec une différence significative (en allant du moins hyperglycemiant ou plus hyperglycemiant) en faveur du Sun...Ceci s'expliquerait par the "Bikini effect" de la page où une belle plante expose ses appâts !
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