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Critique de liliba


Pas facile de porter le nom de Enzo Popov quand on entre dans l'adolescence. Surtout si on est obèse. Et plus encore quand on est pauvre et parachuté dans un collège huppé d'un des plus chics quartiers de Paris… Se faire accepter par les professeurs, les autres élèves, lier des camaraderies… Un combat de chaque jour pour Enzo qui redoute plus que tout les jours d'école, mais cache à sa mère sa souffrance et ses mauvaises notes pour ne pas l'attrister ni l'inquiéter.

Pas facile non plus de vivre seul avec une mère trop jeune. de ne pas avoir vraiment de chez soi, puisque Enzo et Loubia ne sont que locataires temporaires, le plus discrets possible, du grand appartement des employeurs de la jeune femme, qu'elle brique à longueur de journée pour mériter son salaire, en arrivant à déteindre les rideaux, râper les tapis et abimer les meubles. Mère et fils doivent partager une chambre étriquée alors que l'appartement est immense et quasiment toujours vide des propriétaires qui parcourent le monde. Ils se sentent en transit, en sursis et vivent sur la pointe des pieds.
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Lien : http://liliba.canalblog.com/..
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