Un traité d'économie qui, pour se montrer outrancièrement réducteur, démontre, à rebours des clichés habituels sur "la tragédie des biens communs", que les usagers et acteurs des biens communs sont bien souvent les mieux placés pour les gérer ou au moins les cogérer, plutôt que de vastes institutions extérieures, comme les états ou les entreprises. La démonstration du prix Nobel est intéressante (accessible aussi) et puise dans nombre d'exemples : cela reste cependant plus un recueil technique qu'un ouvrage de vulgarisation.
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