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Critique de BookosaurusRex
S'il y a bien un livre qui était dans ma liste d'envie depuis une éternité c'est celui-ci, car dès que j'ai eu fini ma lecture de Prince Captif en début d'année, j'ai eu très envie de retrouver la plume de l'autrice.
Ici cependant, laissez de côté vos aprioris, bons ou mauvais, car ce nouveau roman se dégage de l'ambiance et de l'histoire de Prince Captif pour créer sa propre mythologie.
Au revoir le côté péplum médiéval dans un univers fictif, ici l'ambiance est à la brume d'un Londres aux allures victoriennes.
J'ai mis du temps à rentrer dans cette aventure, il m'aura fallu les 12 premiers chapitres pour réussir à mettre de l'ordre dans le fouillis d'informations transmises, pour que j'ai enfin l'impression que l'histoire allait quelque part et d'évoluer dans un univers ayant du sens.
J'ai aussi pas mal tiqué sur le terme "Steward" qui qualifie les forces du bien et qui, pour moi, a une connotation très moderne lié à l'aéronautique et ne colle pas forcément avec ma vision de l'univers médiéval dépeint par l'autrice.
Mis à part ces éléments qui ont rendu mon début de lecture laborieux, une fois rentrée dans l'histoire et l'intrigue se mettant en place, j'ai été totalement absorbée par ma lecture.
Les retournements de situations sont nombreux et souvent imprévisibles, d'autres un peu moins, mais le final est mené de main de maître et j'ai été soufflée par certaines révélations.
J'ai tout de suite aimé les personnages de Will et Violet, leur côté droits dans leurs bottes, prêts à tout pour lutter contre les injustices et défendre les opprimés.
Cependant si l'on suit des héros de la lumière, il n'empêche qu'ils possèdent un part d'ombre et j'ai beaucoup aimé ce jeu de contraste tout au long de ma lecture.
En Bref: Un lecture qui s'est passée pour moi en deux parties, l'une lente et confuse et la deuxième intense et frénétique, j'ai donc été assez circonspecte un fois le livre refermé.
J'ai donc laissé passer de l'eau sous les ponts pour vraiment déterminer mon ressenti.
Le verdict est le suivant: je lui pardonne son début chaotique, la suite recelant un sacré potentiel!!!
Ici cependant, laissez de côté vos aprioris, bons ou mauvais, car ce nouveau roman se dégage de l'ambiance et de l'histoire de Prince Captif pour créer sa propre mythologie.
Au revoir le côté péplum médiéval dans un univers fictif, ici l'ambiance est à la brume d'un Londres aux allures victoriennes.
J'ai mis du temps à rentrer dans cette aventure, il m'aura fallu les 12 premiers chapitres pour réussir à mettre de l'ordre dans le fouillis d'informations transmises, pour que j'ai enfin l'impression que l'histoire allait quelque part et d'évoluer dans un univers ayant du sens.
J'ai aussi pas mal tiqué sur le terme "Steward" qui qualifie les forces du bien et qui, pour moi, a une connotation très moderne lié à l'aéronautique et ne colle pas forcément avec ma vision de l'univers médiéval dépeint par l'autrice.
Mis à part ces éléments qui ont rendu mon début de lecture laborieux, une fois rentrée dans l'histoire et l'intrigue se mettant en place, j'ai été totalement absorbée par ma lecture.
Les retournements de situations sont nombreux et souvent imprévisibles, d'autres un peu moins, mais le final est mené de main de maître et j'ai été soufflée par certaines révélations.
J'ai tout de suite aimé les personnages de Will et Violet, leur côté droits dans leurs bottes, prêts à tout pour lutter contre les injustices et défendre les opprimés.
Cependant si l'on suit des héros de la lumière, il n'empêche qu'ils possèdent un part d'ombre et j'ai beaucoup aimé ce jeu de contraste tout au long de ma lecture.
En Bref: Un lecture qui s'est passée pour moi en deux parties, l'une lente et confuse et la deuxième intense et frénétique, j'ai donc été assez circonspecte un fois le livre refermé.
J'ai donc laissé passer de l'eau sous les ponts pour vraiment déterminer mon ressenti.
Le verdict est le suivant: je lui pardonne son début chaotique, la suite recelant un sacré potentiel!!!
