Ces trois voix : celle, contemporaine, de l'éternel intello havanais et de sa bande de copains "les merles moqueurs", celle du poète romantique, Jose Maria Heredia et celle de José de Jésus Heredia, qui doit transmettre les dernières volontés de son père, m'ont permis de comprendre toute une partie de l'histoire de la littérature cubaine mais aussi de la franc-maçonnerie.
Ce roman politique sur l'exil et la trahison m'a fait réfléchir au sort de bien des écrivains des Caraïbes mais aussi à la force de l'amitié.
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