Le cercle de Finsbury

Voici commennt j'ai vécu ce roman:
* Au début, beaucoup de papotages insignifiants: l'action peine vraiment à démarrer !
* Enfin! Un gars se pointe à un raout où il n'était pas invité !! Ouf... On va commence à frémir, voire à trembler...
* Mais non ! Alice, voulant se faire des copines, nous sommes submergés de bavardages creux qui reprennent de plus belle...
* de palabres en palabres, nous arrivons tranquillement au QUART du bouquin : le mari d'Alice, Léo, était au courant qu'un meurtre avait eu lieu dans la maison qu'ils viennent d'acheter.... TATAN ! Nous sommes en pleine tragédie. Même Racine, qui excellait à créer des situations cornéliennes, n'y a jamais pensé. le lecteur est bouleversé, sur les dents : que va-t-il se passer ?

Je ne révèle pas la fin, mais je l'attendais, grande comme une... maison.
Voilà: un roman qui met en scène, dans une sorte de huis clos, des femmes disoccupées, qui passent leur temps à faire du footing, du yoga, et à s'inviter pour tromper leur ennui.
Le roman est constitué en majorité de dialogues; peu d'action; j'ai beaucoup baillé.