Le dessin est très simple, en noir et blanc, un crayonné rapide, le loup n'est qu'une silhouette, avec parfois de grandes dents. C'est une sorte d'amis imaginaire, le grand méchant loup, mais qui ne mange que des chocos, pas si méchant que ça en fin de compte. A la façon de Calvin et Hobbes, ce loup est un peu loser, susceptible, mais c'est surtout un compagnon de jeux, une complicité s'installe au fur et à mesure. C'est drôle, un peu décalé et touchant.. Delphine Perret publiera pas la suite deux autres tomes de “
Moi, le loup et…” encore meilleurs.
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