On démarrait dans le premier tome avec deux gars sur un chantier de BTP pour finir en apothéose tarantinesque. Une dynamique puissante, du grand art... J'ai découvert
Vincent Perriot récemment avec la sortie de
Negalyod, et même si c'est différent de ce qu'il a fait avant, c'est un auteur illustrateur que désormais je suivrais de très près.
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