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Critique de Meps
Merci à mon neveu de m'avoir acheté ce livre à Noël. C'est plaisant quand la nouvelle génération vous fait découvrir un auteur de l'époque qui commence déjà à n'être plus la votre... même si l'auteur est quand même plus âgé que moi.
L'obligation de se réinventer dans laquelle se trouve la fantasy actuelle, au risque de ne faire que plagier ses références, amène à de jolis romans comme ces Lames du Cardinal, premier tome d'une trilogie que je ne manquerais pas de poursuivre. Et comment mieux se réinventer... qu'en combinant plusieurs recettes de genres différents, ici le roman de cape et d'épée et les "fantasy dragonisantes".
Au delà de l'hommage rendu aux deux genres, qui est très réussi, le récit se tient en lui-même. La cohérence de l'intrigue, la qualité de l'écriture, la narration multiple, les rebondissements successifs, le talent à rendre les scènes d'action, de manière quasi cinématographique (n'en jetez plus, la coupe est pleine), bref, tout cela concorde à faire passer un très agréable moment et les pages défilent très vite.
Je pourrais risquer un bémol en pointant le déséquilibre entre les deux références, le déroulement du récit étant finalement la plupart du temps peu impacté par l'aspect fantasy... mais ce serait un faux procès car c'est peut-être là que réside l'alchimie trouvée par ce roman et un rééquilibrage aurait sans doute abouti à un résultat plus bancal.
Allez, un dernier petit plus, la carte du Paris de l'époque, ajoutée au début du livre, qui m'a permis de mieux me repérer et de m'immerger pleinement dans le Paris de Louis XIII.... et dans le même esprit, le regret de l'absence d'une liste des personnages qui permettrait d'éviter quelques retours en arrière au début pour bien s'assurer de qui on parle... mais cela oblige quelque part à plus de concentration dans la lecture.
L'obligation de se réinventer dans laquelle se trouve la fantasy actuelle, au risque de ne faire que plagier ses références, amène à de jolis romans comme ces Lames du Cardinal, premier tome d'une trilogie que je ne manquerais pas de poursuivre. Et comment mieux se réinventer... qu'en combinant plusieurs recettes de genres différents, ici le roman de cape et d'épée et les "fantasy dragonisantes".
Au delà de l'hommage rendu aux deux genres, qui est très réussi, le récit se tient en lui-même. La cohérence de l'intrigue, la qualité de l'écriture, la narration multiple, les rebondissements successifs, le talent à rendre les scènes d'action, de manière quasi cinématographique (n'en jetez plus, la coupe est pleine), bref, tout cela concorde à faire passer un très agréable moment et les pages défilent très vite.
Je pourrais risquer un bémol en pointant le déséquilibre entre les deux références, le déroulement du récit étant finalement la plupart du temps peu impacté par l'aspect fantasy... mais ce serait un faux procès car c'est peut-être là que réside l'alchimie trouvée par ce roman et un rééquilibrage aurait sans doute abouti à un résultat plus bancal.
Allez, un dernier petit plus, la carte du Paris de l'époque, ajoutée au début du livre, qui m'a permis de mieux me repérer et de m'immerger pleinement dans le Paris de Louis XIII.... et dans le même esprit, le regret de l'absence d'une liste des personnages qui permettrait d'éviter quelques retours en arrière au début pour bien s'assurer de qui on parle... mais cela oblige quelque part à plus de concentration dans la lecture.
