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Critique de Savoirs_d_histoires
Une des meilleures biographies du jeune monarque, quoique très romancé.
La plume de l'auteur à su faire vivre la fougue et la vitalité rayonnante d'un jeune prince qui allait changer le monde pour toujours. Les anecdotes sont très prenantes et l'on suit avec passion la vie de l'Alexandre, jeune et bénie des dieux. Je vais assurément lire les tomes suivants. le style est un peu typé, mais justement, il manque ce genre d'élan dans le roman d'aujourd'hui, bien trop "commercial " à mon gout. Ici, on retrouve le gout d'une lecture avec un beau Français, très fleurie et embellie de maintes belles trouvailles de style. le seul manque, ou, à mon gout, un défaut de subjectivité (l'auteur est gay, donc...) est que l'auteur, comme un cinéaste connu, reprend une thèse d'un amour charnel entre Alexandre et son jeune compagnon d'étude et de jeux. Héphaïstion. Rien ne nous prouvent que c'était un amour entre hommes, autre que celui d'un frère intellectuel. Puisque aucune source antique n'en parle.
La plume de l'auteur à su faire vivre la fougue et la vitalité rayonnante d'un jeune prince qui allait changer le monde pour toujours. Les anecdotes sont très prenantes et l'on suit avec passion la vie de l'Alexandre, jeune et bénie des dieux. Je vais assurément lire les tomes suivants. le style est un peu typé, mais justement, il manque ce genre d'élan dans le roman d'aujourd'hui, bien trop "commercial " à mon gout. Ici, on retrouve le gout d'une lecture avec un beau Français, très fleurie et embellie de maintes belles trouvailles de style. le seul manque, ou, à mon gout, un défaut de subjectivité (l'auteur est gay, donc...) est que l'auteur, comme un cinéaste connu, reprend une thèse d'un amour charnel entre Alexandre et son jeune compagnon d'étude et de jeux. Héphaïstion. Rien ne nous prouvent que c'était un amour entre hommes, autre que celui d'un frère intellectuel. Puisque aucune source antique n'en parle.
