>
Critique de carine38
Jolie découverte que ce court roman. Il n'est pas nécessaire d'être motard·e pour l'apprécier.
L'auteur décrit aussi bien l'ivresse et le sentiment de liberté procurés par le pilotage d'une moto que l'univers dur des intérimaires dans les usines sidérurgiques, ceux qui s'occupent de la maintenance des machines. L'écriture, dense, montre l'urgence du protagoniste à aller de l'avant : guérir et réparer sa moto pour repartir sur la route. Mais ce processus prend plus de temps que prévu.... Et lui permet de faire une rétrospective de sa vie.
Beaucoup de thématiques sont abordées dans ce roman qui vont du monde de la moto au monde du travail. Qu'apporte le pilotage d'une moto ? La vitesse ? Qu'y trouve-t-on ? Peut-on vraiment se sortir de son milieu quand il est défavorisé ? Quels sont nos freins, conscients et inconscients pour partir ?
L'auteur décrit aussi bien l'ivresse et le sentiment de liberté procurés par le pilotage d'une moto que l'univers dur des intérimaires dans les usines sidérurgiques, ceux qui s'occupent de la maintenance des machines. L'écriture, dense, montre l'urgence du protagoniste à aller de l'avant : guérir et réparer sa moto pour repartir sur la route. Mais ce processus prend plus de temps que prévu.... Et lui permet de faire une rétrospective de sa vie.
Beaucoup de thématiques sont abordées dans ce roman qui vont du monde de la moto au monde du travail. Qu'apporte le pilotage d'une moto ? La vitesse ? Qu'y trouve-t-on ? Peut-on vraiment se sortir de son milieu quand il est défavorisé ? Quels sont nos freins, conscients et inconscients pour partir ?
