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Critique de marie-ded



On ne peut rester indifférent aux conditions de vie misérables qui ont été faites à ceux que l'on a appelés Manouches, tziganes, romanichelles. Parqués dans des camps comme des bêtes, à peine nourris ayant tout perdu sauf leur dignité tout simplement parce qu'ils étaient « gens du voyage » Ils ont survécu tant bien que mal et ont été les derniers libérés quand la guerre s'est enfin terminée. Leur faute ? ne pas vivre comme « tout le monde »
L'auteure a romancé un peu la vie d'Alba mais si peu, que nous ne pouvons que dire : respect à tous ces oubliés et égarés de cette guerre.
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