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Critique de Nanako-Mai
C'est grâce à l'OP Milady et leurs e-books à petits prix, que je me suis laissée tenter par la série des Contes des Royaumes de Sarah Pinborough. Les avis étant assez mitigés, je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre, j'ai donc décidé de ne lire qu'un tome sur les trois et de commencer par celui qui avait les meilleures critiques, soit le T3 Beauté (il parait qu'on pouvait lire les trois tomes indépendamment sans que cela ne soit trop dérangeant).
Pour ma part, j'ai été totalement transportée. Je me méfie toujours des réécritures, et en même temps, je ne peux m'empêcher d'être attirée. Mais, là, Sarah Pinborough nous entraîne dans un monde bien à elle, loin des contes de fée où les princesses sont belles et simplettes et les princes bons et vaillants. Ici, c'est sombre, sensuel, sanguinolent et parfois érotique, à mettre entre des mains averties donc. Par-dessous tout, j'ai adoré cette nouvelle version de la Belle et la Bête. Néanmoins, un tome, de plus le dernier, ce n'est pas assez. Surtout que 150 pages, ça passe très (trop) vite. Et je suis restée sur ma faim, me posant pas mal de questions… J'ai donc profité d'une seconde OP pour me procurer les deux tomes manquant. Même si ce n'était pas la volonté de l'auteur, je suis bien contente d'avoir débuté le récit par ce dernier tome…
Chaque histoire s'imbrique les unes aux autres par des faits parfois minimes auxquels il faut porter importance, mais que l'on a tendance à laisser de côté tant l'on est absorbé par le nouveau récit. J'ai trouvé les choix de l'auteur judicieux et sa plume agréable, et bien que les caractères des personnages soient dans l'ensemble bien construits, il aurait fallu plus de pages pour s'y attacher tout à fait. de plus, on retrouve des allusions à d'autres contes, s'ajoutant au récit principal, et c'est toujours surprenant de considérer les liens que l'auteur fait entre eux et les versions qu'elle en propose. Des zones d'ombres subsistent et une fois la trilogie achevée, l'on se pose encore de nombreuses questions…
En bref, je regrette seulement que cette série n'ait pas duré plus longtemps et que chaque tome n'ait pas compté plus de pages…
Pour ma part, j'ai été totalement transportée. Je me méfie toujours des réécritures, et en même temps, je ne peux m'empêcher d'être attirée. Mais, là, Sarah Pinborough nous entraîne dans un monde bien à elle, loin des contes de fée où les princesses sont belles et simplettes et les princes bons et vaillants. Ici, c'est sombre, sensuel, sanguinolent et parfois érotique, à mettre entre des mains averties donc. Par-dessous tout, j'ai adoré cette nouvelle version de la Belle et la Bête. Néanmoins, un tome, de plus le dernier, ce n'est pas assez. Surtout que 150 pages, ça passe très (trop) vite. Et je suis restée sur ma faim, me posant pas mal de questions… J'ai donc profité d'une seconde OP pour me procurer les deux tomes manquant. Même si ce n'était pas la volonté de l'auteur, je suis bien contente d'avoir débuté le récit par ce dernier tome…
Chaque histoire s'imbrique les unes aux autres par des faits parfois minimes auxquels il faut porter importance, mais que l'on a tendance à laisser de côté tant l'on est absorbé par le nouveau récit. J'ai trouvé les choix de l'auteur judicieux et sa plume agréable, et bien que les caractères des personnages soient dans l'ensemble bien construits, il aurait fallu plus de pages pour s'y attacher tout à fait. de plus, on retrouve des allusions à d'autres contes, s'ajoutant au récit principal, et c'est toujours surprenant de considérer les liens que l'auteur fait entre eux et les versions qu'elle en propose. Des zones d'ombres subsistent et une fois la trilogie achevée, l'on se pose encore de nombreuses questions…
En bref, je regrette seulement que cette série n'ait pas duré plus longtemps et que chaque tome n'ait pas compté plus de pages…
